1. Ballade en forêt


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Nyalis, Source: Hds

    ... gémissements redoublent, deviennent des cris de jouissance. Je leur crie que j'aime ça, que c'est délicieux, que j'ai envie d'être baisé. Les voyeurs se sont rapprochés. Certains ont sorti leur sexe et se masturbent.L'un d'eux s'avance et me demande : tu te fais prendre ? Entre deux gémissement je souffle un oui . L'homme, un trentenaire plutôt avenant, extirpe de son pantalon un sexe épais et imposant.Tout en continuant à jouir des caresses de ceux qui s'approprient mon corps et parties intimes, je lorgne sur ce superbe organe. La croupe cambrée, les fesses ouvertes par le gourmand qui lèche ma rosette palpitante d'excitation, je l'imagine en moi. Je tends la main vers lui pour le saisir, en sentir le poids dans ma paume, la douceur de la peau. Tu en as envie s'exclame un des voyeurs ! Sans hésiter, je réponds oui, j'en ai envie.Baise-le dit-il à l'homme en rut. Mes carresseurs s'écartent pour lui laisser la place. Me saisissant de ma sacoche, je prends un préservatif XL. Prévoyant, j'en ai toujours un parmi les tailles standard. Je lui donne et je badigeonne ma rosette de gel. En appui sur un arbre, jambes écartées, la croupe cambrée, je me mets en position pour une saillie, que j'appréhende un peu vu la largeur du pénis. L'homme s'approche. Il s'est débarrassé de son short pour être à l'aise.Il me saisit par les hanches, positionne son gland sur mon œillet. Vas-y doucement je lui dis. L'homme bande dur. Je sens la pression du gros gland sur l'anus qui s'ouvre peu à peu. ...
    ... Soudain, le gland entrouve l'anneau. Douleur fugace, petit cri. Mon "violeur" marque un temps d'arrêt mais, dans un geste de soumission, j'accentue la cambrure de mes reins vers lui. Il s'enfonce en moi petit à petit, laissant l'anus s'adapter au volume de son braquemart. Puis il entame un lent mouvement. Il n'est pas brutal, heureusement. Les voyeurs font cercle autour de nous. Certains sont tout proche, obnubilés par la vision de notre accouplement contre nature, le va et vient du large chibre dans mon cul dilaté. Un homme saisit mon pénis et me masturbe frénétiquement. Des commentaires obscènes fusent de la petite assemblée: Quel cul ! Quelle salope, il aime ça.Vas-y , baise-le bien. Ces mots crus m'excitent. Je me sens animal, jouissant sans retenue de mon côté "femelle", de ma croupe avide de sexe masculin. Soudain un orgasme fulgurant m'envahit. Je dois me tenir aux branches pour ne pas vaciller. Je crie mon plaisir. Surpris par cet orgasme puissant, mes spectateurs encouragent encore mon baiseur à me sodomiser. Il est endurant, visiblement pas pressé d'éjaculer. Tant mieux, car je déteste être traité comme un "vide couilles", trop vite délaissé. La présence des voyeurs, leurs regards sur mon corps et mon cul soumis au braquemart d'un inconnu me surexcitent. Notre copulation est un spectacle obscène et beau en même temps, dont j'aime être l'acteur principal.Je savoure le lent mouvement de l'épais phallus dans mon fourreau sensible. Plusieurs orgasmes me font délirer et ...