1. La première phase


    Datte: 28/12/2020, Catégories: f, ff, ffh, Collègues / Travail fépilée, piscine, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fdanus, hdanus, initff, couple+f, Auteur: Chercheur de bonheur, Source: Revebebe

    ... elle m’ouvrit le sexe à grands coups de langue et ma cyprine se mêla à sa salive. Elle me léchait divinement bien du clitoris jusqu’à l’anus qu’elle titillait. Elle pénétra en même temps mon vagin et mon anus avec deux doigts. Je fus surprise mais je continuai à remuer le bassin. Je m’empalai sur ces doigts. Elle sentit que j’allais jouir et elle me lécha le clitoris, libérant ma jouissance. Je criai de bonheur comme jamais cela ne m’était arrivé. Je repris mon souffle et l’embrassai.
    
    — Merci pour ce bonheur. Encore une nouveauté. Que j’ai été bête de passer à côté de tout ça !
    
    En milieu d’après-midi, je partis acheter un souvenir au village. Je décidai de continuer à m’émanciper. Sans le dire à mon amie, je mis une petite robe assez décolletée et arrivant au-dessus des genoux. Je ne mis rien d’autre. En passant devant mon amie, toujours allongée à bronzer, je lui demandai en tournant sur moi-même :
    
    — Que penses-tu de cet habit ?
    
    Je la vis assez incrédule de remarquer que je n’avais pas de string.
    
    — Fais d’autres tours, que je voie bien !
    
    Je m’exécutai.
    
    — Oui, cela te va bien. Tu vas encore découvrir de nouvelles sensations : celle d’être la seule à savoir que tu es nue, c’est une sorte d’exhibitionnisme mais tu vas voir comme c’est agréable de sentir le vent sur tes cuisses et ton sexe. Moi, c’est souvent que je ne mets rien, même au boulot et je suis sûre que tu ne l’avais jamais remarqué.
    — Non, jamais ; mais je crois bien que tu ne seras plus ...
    ... seule à le faire. À tout à l’heure.
    
    Effectivement, la sensation était très agréable. Je me sentais fière d’avoir débloqué un autre tabou, celui de toujours cacher son sexe, et de me dire que même si j’étais nue sous ma robe, cela ne signifiait pas que j’étais une traînée, pour reprendre une expression de ma mère pour désigner les femmes qu’elle trouvait trop maquillées ou habillées trop court à son goût. Non, en fait, j’avais un grand sentiment de liberté et pas de dévergondage puisqu’en fait, j’étais la seule à me savoir nue. Les personnes que je rencontrais ne le voyaient pas et je ne faisais rien pour qu’elles le sachent. Être nue sous ma robe est une chose, m’exhiber en est une autre.
    
    De retour, près de la maison, je vis une voiture garée à la porte. J’en déduisis que le mari de mon amie était arrivé. Je rentrai dans le jardin et les aperçus au bord de la piscine, tendrement enlacés. Alors que j’allais m’approcher pour saluer le mari et prévenir mon amie de mon retour, je la vis s’agenouiller devant lui et dégrafer son pantalon. Je m’arrêtai net, rouge de confusion. Je ne savais pas quoi faire : aller vers eux ou ressortir au risque de faire du bruit. Je décidai de ne pas bouger. Je ne pus m’empêcher de regarder.
    
    Pendant qu’il enlevait sa chemise, elle descendit son pantalon et son boxer qu’elle posa par terre. Elle engloutit son sexe, fit de longs va-et-vient lentement. Elle le ressortit de sa bouche et lécha son gland puis descendit jusqu’aux testicules. Elle lui ...
«12...678...»