La première phase - Histoires de Sexe

La première phase

... faisait des va-et-vient tandis que deux autres doigts coulissaient dans son vagin. Elle jouit rapidement en poussant de petits cris. Elle rouvrit les yeux et me regarda tendrement. Elle se leva, vint vers moi et prit ma main dans les siennes. Elle la descendit vers mon sexe et me dit :

— C’était bon, surtout que je savais que tu me regardais. Tu en as envie aussi, vas-y, je te regarderais comme tu l’as fait pour moi.

L’envie me tenaillait au ventre, au sens propre du terme mais la honte me dictait de ne pas le faire.

— Ne te sens pas obligée si tu n’en as pas envie ; mais je pense que tu as envie et que tu n’oses pas. Tu sais, tu passes à côté de beaucoup de plaisir à cause de tes peurs. Imagine, tu te caresses, tu en retires du plaisir et puis que se passera-t-il ? Quelqu’un te jugera ? Tu ne pourras plus te regarder dans la glace ? Ou au contraire, tu seras heureuse d’avoir joui, d’avoir dépassé ta peur et en plus, moi, j’aurai pris du plaisir à te regarder. Mais tu fais bien comme tu veux ! Après quelques moments d’hésitation, je me dis que finalement, mon amie avait raison. Où était le mal à vouloir se faire plaisir ? Je me dis que le mal, c’était sûrement de refuser le plaisir. Je n’hésitai plus et commençai à me caresser les seins. Une main descendit vers mon sexe, je caressai doucement mes poils, trouvai mon clitoris qui sortait déjà de son capuchon. Je récupérai un peu de cyprine en écartant mes grandes lèvres qui étaient toutes gonflées. Je mouillais ...

... beaucoup et, sans mal, je pus entrer trois doigts dans mon vagin. Je me masturbai sans retenue, mes doigts sortirent et je pris mon clitoris entre deux doigts et imprimai un mouvement de va-et-vient qui me fit rapidement jouir. Je rouvris les yeux et vis mon amie qui me regardait, les jambes écartées, se masturbant elle aussi. Elle me sourit et me dit :
— J’espère que tu as pris autant de plaisir que moi. Je suis heureuse.

Elle se leva et me fit un léger baiser au coin des lèvres puis s’accroupit devant moi.

— Je vois que tu apprends vite. Je te souhaite de continuer sur cette voie.
— Que de temps perdu, lui répondis-je. C’était bon. Merci de ton aide. Je pensais passer un bon week-end ; je ne pensais pas qu’il serait si bon.
— Ne n’inquiète pas, il n’est pas fini, me répondit-elle en se mettant debout, me montrant une nouvelle fois son sexe à quelques centimètres de mes yeux.

Elle se retourna et se pencha pour ramasser son tee-shirt au sol. Dans son mouvement, je vis ses fesses s’écarter et aperçus son anus et ses lèvres encore entrouvertes et dégoulinantes de cyprine, nues sans aucun poil. C’était beau et excitant. Elle se releva et nous partîmes chacune dans notre chambre. Allongée dans mon lit, je repensai à cette journée. Aucun remords ne m’envahit. J’étais même plutôt fière d’avoir surmonté le côté sombre de mon éducation.

Le jeudi

Le lendemain matin, je me réveillai de bonne humeur après une nuit de sommeil peuplée de rêves érotiques. Je descendis ; mon ...