OLIVIER 03 FIN DU WEEK END
Datte: 27/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... je remettrais ça le midi, l'après midi, en début de soirée et en milieux de soirée … Avec des godes dans le cul !
Je bandais encore plus fort en m'imaginant le lendemain. Je faisais mon emploi du temps pour les semaines à venir.
Par la suite je ne prémédite rien. Je ne me dis pas : '' Charly tu es un branleur, il faut que tu arrêtes un peu, que tu te calmes … Il est temps de te remettre en cage … '' . Non je ne me dis jamais ça !
Simplement au bout de quelques semaines j'éprouve le besoin de sentir cette étreinte sévère, dure mais douce autour de ma queue.
J'aime me réveiller et sentir ma queue qui désespérément tente son érection matinale sans y parvenir. Je la contracte alors à l'intérieur de sa cage pendant de longs moments quand je me réveille. J'aime sentir ce manque, ce désir, ce besoin.
J'aime sentir que ce manque n'est pas rempli, que ce besoin n'est pas satisfait.
Ces idées avaient envahi mon esprit au restaurant et continuaient dans la voiture sur la route du retour.
J'aime sentir cette frustration, j'avais hâte d'arriver. J'avais hâte de me branler avec un gros gode dans le cul. Je me sentais fort, motivé, comme je me sent fort, motivé, le jour, l'instant, la seconde ou je referme mon dispositif pour une période que je n'est ...
... pas décidé au départ mais qui, quelquefois peut être longue.
J'aime me lancer des défis, une durée de plus en plus longue. Je venais de faire une session de neuf semaines, je sais là je compte les jours, la prochaine fois il faudra que je garde le dispositif au moins douze semaines, treize même …
Ce serait bien ça, douze, huit plus la moitié de huit. C'est une bonne progression et ça doit être terriblement jouissif. Il faudra aussi que je me trouve un partenaire qui m'encule quand je porte un tel dispositif. Là encore je pensais à Olivier …
Il était tard quand j'arrivais chez moi. La fatigue à toujours le même effet sur mes érections, ça ne les calme pas. J'en ai fait l'expérience après des nuits blanches, plus jeune il m'arrivait de me branler trois ou quatre fois de suite, j'étais épuisé mais je bandais et je bandais encore. Et cette nuit là je savais que ça me le ferait. La pression de la cage contre ma queue ne disparaissait pas.
Depuis le restaurant je bandais et je voulais avant tout cracher ma sauce. Juter, éjaculer. Et en garant la voiture je me disais : '' Demain je serai fatigué mais, ce soir je vais me vider les couilles comme jamais … ! ''.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast