La bourgeoise et le marabout (25)
Datte: 26/12/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Depuis ma rencontre au parc avec Grégor, j’ai souvent repensé à cet orgasme intense éprouvé sous la langue de son chien doberman Stark. Depuis, j’ai régulièrement rêvé d’une nouvelle rencontre, j’ai imaginé cette langue un peu râpeuse parcourant tout mon corps et j’ai même fantasmé sur une saillie avec l’animal. J’ai donc consulté internet pour me renseigner sur les pratiques zoophiles qui consistent à avoir des relations sexuelles avec des animaux. J’y ai découvert que la mythologie grecque recèle de nombreuses histoires mettant en scène des créatures hybrides comme le Minotaure, fruit de l’accouplement de la déesse Pasiphéa et d’un taureau. Par ailleurs, Zeus lui-même n’a pas hésité à se transformer en cygne pour coucher avec Léda. Ce qui m’a rassuré c’est que, de l’avis des experts, il n’y a pas de risques de transmission de maladie. Il n’y avait donc plus qu’à attendre que l’occasion se présente...
C’est par un samedi après-midi ensoleillé, alors que François est parti jouer au tennis avec un ami, que cela est arrivé. Je suis au parc installée sur une couverture étalée sur l’herbe dans un petit coin isolé. Je bronze mes gambettes en lisant un magazine féminin lorsque Stark arrive et s’affale sur ma couverture. Quelques secondes plus tard, j’entends la voix grave de Grégor
— Bonjour Hélène, je vois que Stark ne vous a pas oublié depuis notre dernière rencontre.
Tout en posant ma main sur la tête du chien pour le gratifier de quelques caresses, je réponds à son ...
... maître
— Bonjour Grégor. Soyez certaine que ne je l’ai pas oublié non plus !! Il m’arrive même de rêver parfois de lui la nuit.
Le maître s’assoie à son tour sur la couverture et reprend
— Oh, auriez-vous des pensées lubriques ? Cela n’est du style du quartier !
Je lui rétorque
— Soyez certain que j’assume pleinement mes envies, contrairement peut-être à d’autres bourgeoises du XVIème.
Après un petit quart d’heure passé à discuter de choses diverses, Grégor me propose de prendre un verre chez lui et j’accepte volontiers.
Son appartement est tout proche du parc et il ne nous faut pas plus de 10 minutes pour arriver devant son immeuble sur l’avenue Paul Doumer. Nous prenons l’ascenseur et nous voilà au 3ème étage. Grégor me fait installer au salon et me demande de prendre mes aises pendant qu’il ouvre une bouteille de champagne. Lorsqu’il revient avec le plateau, la bouteille et deux coupes, je suis bien calée dans un canapé et Stark est gentiment couché à mes pieds, la truffe posée sur l’un de mes escarpins. Grégor me sert une coupe de champagne et s’installe dans un fauteuil en face de moi. Une fois mon verre vide, il s’empresse de m’en resservir un autre. L’alcool aidant, je décroise mes jambes et les entrouvre pour permettre à mon hôte de voir la fine dentelle de mon string blanc. Grégor ne dit rien, me regarde droit dans les yeux et émet un petit claquement de langue. Aussitôt, Stark se redresse, s’assoie sur ses pattes de derrière face à moi, pose ses ...