1. J'adore me sentir femme


    Datte: 26/12/2020, Catégories: Anal Gay Transexuels Auteur: nadiatvx, Source: xHamster

    ... retourna à nouveau pour me placer sur le dos. Il met mes jambes sur ses épaules, je suis son pantin tellement l'excitation me coupe les muscles:
    
    - Prends-moi comme une salope...Je suis ta petite pute...Lui répétai-je en gémissant
    
    - A peine 18 ans, mais t'es déjà une avaleuse de bite professionnelle !
    
    Sur ces mots, il remit en place sa bite d'un coup de rein et il reprit son rythme devenu frénétique pour mon plus grand bonheur. Je pouvais maintenant sentir sa bite frotter contre ma prostate et je sentis l'orgasme monter en moi. Plus il montait et plus je soulevais mon bassin si bien qu'il m'agrippa les fesses pour me soulever.
    
    - Plus vite, je vais jouir...défonce-moi ! lui criai-je tout en me masturbant furieusement.
    
    Sur mes mots, il me martelait, mon basin étant à moitié en l'air, mon corps est balancé d'avant en arrière. Puis vint l'orgasme, foudroyant, accompagné des torrents de mon foutre qui se déversa sur mon torse et partout sur mon visage. J'étais allongé là, recouvert de mon propre sperme, quasiment amorphe, toujours rempli par la bite de mon partenaire qui me donnait toujours des coups de reins, mais de manières plus douces. J'essayais de goûter mon précieux liquide autour de ma bouche, j'étais trop ...
    ... « faible » pour utiliser mes doigts. Il le remarqua, se leva en me soulevant aussi. Je me retrouvai à genoux, de nouveau face à ce merveilleux morceau de viande. Il mit sa main dans mes cheveux et me dit :
    
    - Ne t'en fais pas, la deuxième fournée arrive ! Suce-moi, seau à sperme !
    
    Il enfourna de suite sa bite dans ma gorge. Et je le suçai encore, plein d'entrain à l'idée de me voir avec cette bite bien épaisse dans ma bouche avec mon foutre étalé sur la gueule. Cette vision extérieure de moi m'excitait au plus haut point et je m'acharnai sur la queue de mon grand guerrier jusqu'à que celui-ci vienne envoyer tout son foutre sur ma petite gueule déjà souillée par ma propre semence, dans un grand râle de satisfaction.
    
    Il semble complètement vidé, et il y avait de quoi. J'étais encore à genoux en train de goûter le mélange de nos semences qui dégoulinait de mon visage jusque sur mes cuisses encore tremblantes. Je n'avais envie que d'une chose : réitérer l'expérience !
    
    Il était hors de question que j'en reste là avec cet homme sur qui j'ai tant fantasmé ! Je veux devenir sa salope attitrée, accourir chez lui à sa demande, à n'importe quelle heure, pour qu'il puisse déverser sa virilité dans mon petit cul de soumise. 
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