1. Veillée funèbre (3)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Ma première nuit de deuil. 3
    
    Tout mon ventre est irradié, mes seins sont hyper sensibles, mes pointes sont dures, dans un spasme, l’orgasme qui m’inonde me fait oublier que je me donne à un manant car pour la première fois de ma vie, je ressens un plaisir sans limite, non simulé, jamais atteint avant lui.
    
    Anselme me laisse redescendre doucement de mon nuage. Il s’est relevé et pour la première fois de sa vie, me donne un ordre.
    
    -Madame Amélie… Je veux que vous… que tu sortes mon sexe…
    
    Suite :
    
    Il est devenu le maître et moi son esclave sexuelle. Il sait que je vais lui obéir mais comme j’hésite, il prend ma main et la guide sur lui, je baisse son pantalon puis fais glisser avec fébrilité son caleçon molletonné que portent les hommes de notre époque.
    
    Les pans de sa chemise me cachent sa verge, je les écarte et m’apparait une verge épaisse au gland masqué par la peau de son prépuce.
    
    Son pénis bande à peine malgré ce qu’il m’a fait subir, mais je n’en crois pas mes yeux en découvrant cette verge courtaude entourée des poils abondants poivre et sel. Ce qui me frappe et m’effraie aussi, c’est l’épaisseur de son sexe déjà plus gros que celui de mon défunt en pleine érection.
    
    Il va me défoncer la chatte avec un tel organe ! Les couilles toutes fripées, sont du même acabit dans leur gangue de poils.
    
    -Prends-moi en bouche !
    
    L’ordre ne peut pas être plus clair et direct. Mon excitation de cette découverte reprend le dessus, je rapproche ma tête et ouvre ...
    ... grande ma bouche, ne prenant pour l’instant que son gland entre mes lèvres. L’hygiène laisse un peu à désirer, l’endroit sent le fauve, la campagne, le foin mais semble être propre! Ça devrait me rebuter mais mon envie est trop grande. Cela fait si longtemps que j’espère que je ne vais pas le décevoir. Je n’ai que l’expérience acquise avec Henri, mon « ex » mari…
    
    — Ne fais pas tant de manières ! Prends en plus et suce-moi bien, tète ma queue et caresse-moi les couilles !
    
    Je prends ses œufs, les caresse, les fais rouler entre mes doigts. Plus j’aspire son dard et plus il prend d’ampleur, il s’allonge incroyablement, je ne savais pas que c’était possible ! La peau se tend et décalotte un gland mafflu, un vrai chapeau de champignon rouge-violet gorgé de sang!
    
    — Lèche- moi sur toute la longueur, pas que le bout!
    
    Contrairement d’avec mon mari, j’ai plaisir à le faire, je prends sa verge à deux mains pour mieux lécher de la pointe de ma langue, la peau hyper-sensible située sous le gland faisant gémir Anselme qui m’encourage à continuer. J’arrive sur le frein, ce minuscule bout de peau qui donne cette forme si spéciale au museau d’une belle queue par la traction qu’il exerce dessus.
    
    Quand je le lèche, j’excite des terminaisons nerveuses qui déclenchent un grognement de bête-fauve de ce rustaud si bien monté, reprenant la main sur mon employé.
    
    Mais je ne reste pas maîtresse de la situation bien longtemps, il cale une main derrière ma tête et l’autre sous mon menton et ...
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