Le Net c'est bien
Datte: 25/12/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
internet,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... l’épaule, tout en disant :
— Tu vois, il pense à toi aussi. Il sait que tu veux tout voir. Il se souvient encore et pourrait le décrire pendant des heures, la première fois où il a vu un autre homme me posséder.
Mais je ne l’écoute plus, toute ma personne est tendue vers ce qui va se passer. Lise allongée, les cuisses ouvertes, la chatte brillante de sa jouissance, attendant. Attendant avec envie ? Attendant avec appréhension ? Je ne sais pas, en tout cas elle ne cherche pas à fuir, au contraire elle semble chercher la bonne position, les fesses au bord, les genoux fléchis, les pieds sur le sol.
Lentement l’homme avance, dirigeant son sexe de la main, jusqu’à ce que le bout appuie sur la fente, repoussant les petites lèvres. Alors il place, à la façon d’un « hardeur » qui laisse le champ libre pour la caméra, ses mains de chaque côté de ses reins.
Son sexe est un pont entre lui et ma femme. Il l’envahit par un lent mouvement du bassin, tout en m’adressant un clin d’œil par la caméra. La queue, sans être monstrueuse, est tout de même de bonne taille, en tout cas plus longue et plus grosse que la mienne. Je me dis un instant qu’il ne faudrait pas que Lise prenne goût à cette dimension. On dit que la taille ne compte pas, mais j’en doute tout de même. Mais elle n’en aura pas le temps, ceci n’est qu’une aventure d’un soir, ou de quelques fois si nous décidons de revenir.
C’est fait. L’engin a disparu, glissant sans heurt dans le conduit bien humide et dilaté par ...
... la jouissance et l’envie – l’envie à n’en pas douter. Il suffit de la regarder. Un petit sourire aux lèvres, une sorte de contentement. Je parle toujours de mon envie à moi, de voir ma femme avec un autre, mais si nous sommes ici c’est aussi parce que Lise en a exprimé le désir.
L’immobilité ne dure qu’un temps. Vient le temps du mouvement, de la possession répétée, vague après vague, comme une marée montante où chaque fois la mer avance un peu plus. L’homme a pris une position plus adaptée, les bras en appui sur la banquette, le corps tendu entre les cuisses maintenant écartées en un V de soumission, plongeant et ressortant son bâton de chair uniquement par des coups de reins.
Le bruit, la musique des chairs qui claquent, le clapotis du piston qui coulisse dans le cylindre souple et lubrifié. Oh, cette musique, je l’entends, j’en perçois chaque nuance, je l’associe à chaque mouvement. Ce son participe à mon plaisir. Il est clair et franc. C’est bien celui d’un couple en action, couple heureux de son état, surtout ma femme qui ne mouille que lorsque son envie est bien présente.
Il la défonce avec force, obligé de la retenir aux hanches tant ses coups sont violents. Elle ne s’en plaint pas, s’agrippant de son mieux au tissu. Il est résistant, infatigable, une vraie force de la nature et pourtant la grotte de ma femme est étroite et doit le serrer avec de charmants arguments.
Je reconnais les signes avant-coureurs sur Lise car elle commence à parler. Oh, pas des mots ...