Le Net c'est bien - Histoires de Sexe

Le Net c'est bien

... de ma femme pour la faire plier et s’agenouiller.

Là encore, l’homme improvise car lorsque nous avions parlé de nos habitudes sexuelles j’avais insisté pour dire que la fellation n’était pas la tasse de thé de Lise et que surtout, elle refusait que je jouisse dans sa bouche. Je ne vois pas bien sur l’écran mais je devine sa réticence. Pourtant, brave petit soldat elle s’exécute et sa tête qui me cache l’action, bouge. L’homme profite de cet instant et lui détache son soutien-gorge.

— Arrête. Ce n’est pas une sucette. Ton mari avait raison.

Allons bon, maintenant il raconte nos conversations. Mais après tout, c’est bien normal que nous ayons abordé le sujet de nos pratiques lorsque j’ai préparé notre venue. L’homme aide Lise à se relever. Il l’embrasse. Maintenant qu’ils sont nus la puissance de Christiaan apparaît encore évidente.

— Tu n’aimes pas sucer ?

Lise fait non de la tête.

— Pourtant, tu sais combien nous, les hommes, apprécions.

Toujours de la tête, elle répond, oui.

— Drika suce comme une reine. Je ne connais pas de femmes qui puissent l’égaler. J’adore jouir dans sa gorge et – l’homme rit – ses amants aussi. Peut-être qu’actuellement, elle pompe ton mari. Cela ne te gêne pas ?
— Non, dit Lise d’une petite voix.

C’est la première fois qu’elle parle.

— Tu sais, une fois que l’on a goûté au plaisir de jouir dans sa bouche, on ne peut plus s’en passer. Corentin va vouloir que toi aussi tu lui fasses.

Elle ne dit rien, juste peut-être ...

... un haussement d’épaules.

— Si tu veux, je peux demander à ma femme de te montrer. Tu ne serais pas la première à qui elle enseigne les trucs. Tu veux ?
— Pourquoi pas.

Je ne rêve pas, ma femme vient d’accepter d’apprendre la fellation, elle qui n’arrive même pas à prendre mon gland dans la bouche.

— Tu vois, comme il sait y faire, me dit ma voisine alors que je me tourne vers elle. Tu verras, je vais lui apprendre, et bientôt elle va te pomper bien à fond.

Agréable perspective.

Drika tend le bras pour effleurer mon pantalon.

— Si tu veux, je peux….

J’hésite mais refuse.

— Merci, mais je ne veux rien rater et je crains que « ton art » me déconcentre.

Elle rit.

Mais sur l’écran, cela bouge. L’homme a soulevé Lise comme un fétu de paille et la pose sur un buffet bas appuyé à un mur. Elle est assise, les jambes pendantes, le dos contre la cloison. Délicatement Christiaan se saisit des fines languettes de tissu qui maintiennent le string pour l’enlever et Lise l’aide en se soulevant de ses bras.

L’homme s’agenouille devant elle, adorateur de ma déesse maintenant totalement nue. Elle ne le regarde pas, semblant presque indifférente, mais je vois bien qu’imperceptiblement ses cuisses s’ouvrent. J’ai l’impression qu’elle me fixe, son regard étant dans la direction d’une des caméras.

— Cela, je suis sûr que tu vas aimer, dit l’homme alors qu’il glisse ses mains sous les fesses et approche son visage de la chatte parfaitement épilée.

Je vois dans ...