Le Net c'est bien - Histoires de Sexe

Le Net c'est bien

... chemin.

Il remue un peu, encore bien à fond, comme s’il cherchait à gagner quelques millimètres.

— C’est super. Je me sens massé de toute part. Bouge un peu pour voir.

Elle obéit. Même si nous ne recommençons jamais, au moins je saurai que quelquefois il faut être directif.

— Oui, comme cela. Oh, petite coquine.

Non seulement Lise ondule du bassin, mais on voit bien que petit à petit cette ondulation se transforme en va-et-vient et que ses fesses avancent et reculent sur le mandrin dans un lent mouvement.

— Oh, j’adore. Continue. Tu aimes ma queue dans ton cul ?

Lise semble marmonner mais rien de cohérent. Pourtant elle continue à se baiser, apportant une réponse muette à la question. Mais, brutalement, l’homme claque sa fesse. Elle sursaute.

— Tu n’es pas muette, dis-moi. Réponds !
— Oui.

Il claque à nouveau.

— Plus fort. Plus audible. Si tu aimes dis-moi quoi ? Je veux que tout le monde t’entende. Tu as peur que ton mari se plaigne ?
— Non.
— Alors !
— Oui, c’est bon
— Bien continue. Bouge et parle.

La scène est grandiose et improbable. J’aurais parié ma voiture que ce n’était pas possible. Et pourtant ! Elle le fait ! Elle le dit. Lise se sodomise sur le mandrin. Lise décrit ce qu’elle ressent. On me l’a changée. Mon sexe n’est plus que douleur tellement je bande. J’aurais peut-être dû accepter la proposition de Drika. Mais non, je dois réaliser mon fantasme jusqu’au bout et me garder pour ma femme, la prendre au sortir de cette ...

... séance.

— C’est bon. C’est bon. Elle est grosse. Mon cul est bouillant. Ma chatte coule, dit clairement Lise alors que sa main titille son bouton.

Les deux amants s’accordent. Lui avance avec force, elle pousse encore plus.

— Je viens. Je viens. Oh salope, tu m’as tiré.

Christiaan ne fait pas dans la dentelle mais Lise ne s’en formalise pas, toute entièrement concentrée sur son plaisir. La queue est extirpée du conduit, laissant l’œillet orphelin, trou dilaté, vision obscène mais délicieuse. La capote arrachée, de longs traits de sperme jaillissent, crème épaisse projetée jusqu’aux épaules de ma femme. Petit à petit la fontaine se tarit en jets moins puissants. La peau halée de Lise fait ressortir le blanc de la purée liquide qui semble se figer en coulures parallèles.

Tout le monde reprend son souffle, aussi bien les amants que les spectateurs. Lise se relève et oscille, comme saoule.

— Où est-ce que je peux faire un brin de toilette ?
— Non, tu restes comme cela. Ton mari n’a pas pu assister, alors je veux qu’il voie.
— Mais, je ne peux pas rentrer comme cela.
— Mais si. Tiens, mets ta robe. Non, pas les dessous. Je les donnerai à Corentin.

C’est une Lise défaite qui apparaît lorsque la porte s’ouvre. Drika et moi sommes juste devant.

— Tout va bien ? je lui demande.

Mais c’est son amant qui répond.

— Très bien. N’est-ce pas Lise ? J’ai eu beaucoup de plaisir et toi ?
— Moi aussi, répond-elle sans oser me regarder dans les yeux, comme si elle se ...