1. Jenna se joue au poker (7)


    Datte: 25/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Rolande ne se fait pas prier. Elle attrape l’objet qu’on lui désigne. Et sans attendre des consignes plus précises, elle se saisit sans douceur de la jupe de Jenna et l’arrache – plutôt qu’elle ne la descend - la jetant littéralement sur ses chevilles. Le tissu tombe mollement sur le sol, en dévoilant les belles fesses nues et plantureuses qui appellent la punition.
    
    La bourgeoise brune expose à tous de façon obscène et impudique son derrière bien épanoui.
    
    Rolande ne s’émeut pas de ce beau spectacle et ne reste pas en contemplation devant lui. Elle a déjà le manche en main, et d’un bruit sec et claquant elle abat les lanières avec force sur les rotondités charnues de la malheureuse.
    
    Jenna pousse des cris stridents qui nous percent les oreilles – le son en effet résonne dans cette cave voutée.
    
    Elle semble plus meurtrie que si ça avait été l’un d’entre nous - un homme - qui la fustigeait. Est-ce surtout psychologique ou est ce que la poigne forte de la cuisinière alliée à la matière caoutchouteuse des lanières a un effet plus cuisant ?
    
    Il faut dire que Rolande ne ménage pas sa peine, elle y va de bon cœur : elle prend un grand élan à chaque fois sans que ça ralentisse son rythme et couvre l’ensemble du fessier, le bas des reins, et les cuisses charnues d’une grêlée cruelle. On dirait qu’elle a un compte à régler, une vengeance à accomplir, un différend personnel avec la quadra hautaine qui, pour l’heure, danse d’un pied sur l’autre et sur la pointe de ses bottes ...
    ... une espèce de danse de l’ours ridicule, et risible si la couleur que prend sa chair et ses cris horribles ne finissaient pas par nous apitoyer.
    
    Maurice doit répéter deux fois à Rolande qui est toute en sueur d’arrêter, et même la menacer de lui faire subir le même sort si elle n’obéit pas.
    
    Pour ma part je serais prêt à m’acquitter de cette tâche, et à l’idée de revoir cette grasse cuisinière mafflue attachée en train de se faire zébrer ses grosses miches adipeuses me fait brutalement bander comme un âne en rut !
    
    Mais elle ne m’offrira pas ce plaisir car elle s’arrête après deux ou trois derniers coups bien sentis en travers la croupe de la brune.
    
    Je la soupçonne d’être jalouse d’elle à cause de son cul splendide.
    
    Alors j’ironise en passant ma main sous la jupe de Rolande et en lui palpant ses grosses masses fessières :
    
    « - Ne soyez pas jalouse, Rolande, vous avez-vous-même un gros cul somptueux qui donne envie de le zébrer à son tour… et de le sabrer. »
    
    Elle me regarde avec un demi-sourire, un peu vicelard. Du coup, enhardi, j’appuie doucement sur ses épaules pour lui faire comprendre qu’elle doit s’agenouiller, ce qu’elle fait dans l’instant. Je sors mon gros bâton raide comme la justice, elle s’en saisit et commence à emboucher et sucer le gland.
    
    Je ferme les yeux et ronronne avec ravissement.
    
    « - Bon, c’est pas le tout, il y a une qui attend de nous payer en nature ! »
    
    C’est Jean-Robert qui vient de s’exprimer.
    
    Moi je laisse les autres s’en ...
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