1. De l'Etoile à la rue George, et le quartier Belsunce


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Albin Thai, Source: Hds

    ... Juste le pied monumental que j'ai pris.
    
    J'y suis retourné de nombreuses fois, dans ce cinéma.
    
    Une nuit, l'un d'eux m'a parlé.
    
    - Toi qui aime qu'on te regarde faire, je connais un endroit que tu aimeras. Soit ici ce soir à 20 heures, je t'y emmènerai.
    
    C'est comme ça que j'ai connu le petit jardin de la rue George. Là, des voyeurs matent des jeunes donner leur bouche et leur cul, en public. Là aussi, j'ai donné de ma personne. Pendant mes mois de fréquentation, je suis celui qui a le plus donné son cul.
    
    Plus tard, alors que j'avais oublié cet intermède, je suis venu à la caisse de retraite toute proche. Emu, je suis retourné au jardin. Mais, de jour, rien ne se passe. J'ai décidé de revenir nuitamment, pour voir si les choses avaient changées.
    
    Malgré les années, mon corps n'avait pas changé. Bien sûr j'ai vieilli, mais ma morphologie est restée la même. Je ressemble toujours à un ado. Un mec s'approcha et me dit :
    
    - T'as un beau cul, tu sais ? Tu baises ?
    
    - Je suces aussi, j'ai dit. Mais, pas caché !
    
    - C'est comme tu veux...
    
    Il s'approche.
    
    - Ah ! Dis-je, en secouant la tête. C'est toi qui déshabille !
    
    Il s'avança vers moi, déboutonna mon pantalon et le laissa tomber sur mes chaussures. Je porte toujours de ces vieux slips blancs, lumineux dans l'obscurité. Ca attire les regards.
    
    - Soyons fous, lui dis-je. Déchires-le !
    
    Le gars ne se fit pas prier. Il avait compris. Il attrapa le sous-vêtement et le déchira en deux. Il tira sur le tissu ...
    ... pour me l'ôter. Puis, il me fit mettre à genoux et sortit sa bite. Il me gifla, et s'écria :
    
    - Suces !
    
    Les larmes(volontaires) coulèrent sur mes joues et j'ouvris la bouche. Mes lèvres glissaient lentement le long du manche. La respiration de son propriétaire était saccadée. Le mec m'avait enlevé le vêtement. Il me traîna vers un banc de pierre. Il y en avait pleins dans ce parc. Il me courba au-dessus du banc, écarta mes fesses et m'encula.
    
    Quand ce fut fini, on a fait un brin de causette. Je cherchai des endroits en plein air, ou je pourrai passer à la casserole en public, en faisant croire que c'était imposé, et surtout, à plusieurs.
    
    Il m'indiqua le jardin de la colonne. J'ai souri. Quand il me demanda pourquoi, j'ai dit :
    
    - C'est ironique. Celui qui de là-haut, est censé tout voir, verra que nous appliquons ses préceptes. Aimons-nous les uns, les autres.
    
    Effectivement, il s'en passait de drôles là-haut. Il y en avait des culs nus et des bouches pleines. Quand aux yeux, n'en parlons pas. Il y avait bien plus de voyeurs que d'acteurs.
    
    J'avais innové dans mon comportement. Pour inciter les amateurs à participer à mes orgies, j'avais décidé d'opérer à poil. Maintenant, je demandais à mes suborneurs, de me déshabiller entièrement. Du coup, pendant que certains s'occupaient de mes trous, d'autres pouvaient me caresser, m'embrasser, et même m'inonder de leur sperme, voire de leur urine. Les vieux adoraient embrasser mes fesses.
    
    Maintenant, j'ai 30 ans. Je ...