1. Moi, Daniel, SDF


    Datte: 24/12/2020, Catégories: fh, pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... coin : j’ai rempli les conditions.
    
    J’ai débuté le lendemain dans mon nouvel emploi. Le patron semble satisfait de moi et m’a proposé un contrat à durée indéterminée, que j’ai naturellement accepté.
    
    Les formalités pour la reconnaissance du petit Jacques ont été rapidement effectuées. Mais mon problème, c’est que je suis entouré de deux très belles femmes ; je ne peux en avoir aucune, ni amener une maîtresse. C’est difficilement tenable. Devant mon air soucieux, un jour où nous étions seuls, Anne m’a demandé quelle en était la raison puisque Jacques était maintenant mon fils.
    
    — La raison est simple. Je suis entouré de deux magnifiques femmes et je ne peux en baiser aucune : toi, tu te refuses ; et avec Nancy, nous avons eu trop de problèmes.
    — Mais que les hommes sont bêtes ! Nancy est folle de toi ; pourquoi crois-tu qu’elle ait appelé son fils Daniel ? Mais comme toi, elle croit que vos anciennes disputes lui interdisent tout espoir. Attaque-la et tu verras : elle te sautera au cou. Je t’aiderai.
    
    Le même soir, dès que le dîner a été terminé, Anne a prétexté une grande fatigue et s’est éclipsée. Les enfants dormaient, nous étions seuls. Nous sommes allés voir la télé, installés sur le canapé. Subrepticement j’ai étendu mon bras au-dessus de la tête de Nancy. Elle s’est un peu penchée et mon bras a glissé sur ses épaules. Elle s’est redressée ; ma main pendait au-dessus de sa poitrine. Doucement, mes doigts ont effleuré son sein. Elle a tourné son visage vers moi. ...
    ... Je l’ai regardée avec un sourire ironique. Elle m’a alors sauté dessus, sa bouche violant la mienne. Notre baiser a été très long, et surtout torride. Puis elle m’a regardé.
    
    — Depuis que j’attendais ça… Tu t’es enfin décidé ! Je t’aime.
    — Oui ; mais si j’ai fait ça, c’est seulement pour que tu me laisses reconnaître ton fils.
    
    Surprise, elle s’est demandé si j’étais sérieux. Puis, voyant mon sourire, elle a compris que moi aussi je l’aimais.
    
    — J’avais peur que tu tombes amoureux d’Anne. Je l’aurais accepté, mais j’aurais été triste. Je n’aurais plus jamais aimé aucun homme.
    — Mais peut-être qu’elle éprouve envers moi les mêmes sentiments que toi. Je ne lui ai pas demandé. Je la questionnerai : si elle te cède la place, je pourrai toujours la dépanner le cas échéant.
    — Salaud ! Nous n’avons pas encore baisé et tu penses déjà à me tromper avec ma belle-mère !
    — Avoue qu’elle doit valoir le coup. J’aimerais bien comparer ; avec ton autorisation, naturellement.
    — Nous discuterons de cela plus tard ; viens plutôt me montrer tes talents.
    
    Nous sommes allés dans sa chambre et nous nous sommes aimés. Elle n’avait pas l’expérience d’Anne, mais je compléterai son éducation. Elle a particulièrement apprécié ma prestation, compte tenu de tous les soupirs qu’elle a émis.
    
    Nous nous sommes endormis enlacés. Réveillé le premier, je me suis levé doucement. Dans le couloir, on entendait babiller les enfants. Anne arrivait de la cuisine pour s’en occuper.
    
    — Cette nuit, je ...