Élargissement du cercle et circonstances éphémères
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
fhh,
couleurs,
couplus,
facial,
Partouze / Groupe
Auteur: Gygès, Source: Revebebe
... déhanché délicieusement excitant, surtout connaissant sa tenue sous la robe et les intentions pour lesquelles elle l’avait enfilée. Nous nous sommes présentés devant une porte, pas plus récente que la précédente mais qui, cette fois-ci, présentait un interphone d’âge indéfini. Après avoir essayé de déchiffrer les noms manuscrits sur des petits papiers en décomposition, j’ai enfin appuyé sur le bon bouton. Lucien a crachoté quelques mots que je n’ai pas compris sauf « 2e étage ». J’ai cédé la place à Selma pour monter l’escalier pentu en colimaçon. Juste derrière elle, j’avais le visage sous ses fesses que je regardais rouler sous la robe pendant qu’elle montait l’escalier. Ses mollets fins et bronzés qui finissaient sur deux chevilles fines étaient une invitation aux caresses.
Nous sommes arrivés au second étage. Il n’y avait qu’une seule porte, face à l’escalier. La porte était ouverte et Lucien en occupait l’ouverture, le sourire accroché aux lèvres, les dents d’un blanc éclatant et les épaules larges emballées dans un pull léger moulant. Il dégageait un charme certain et, à ce moment-là, je me suis dit que Selma allait être tentée par l’expérience. Il a fait la bise à Selma en se présentant. Je voyais ses yeux aller de bas en haut puis faire le chemin inverse tout en l’invitant à entrer.
— Salut vieux, ça va ? Sympa d’être venu. Ça me fait plaisir de vous avoir à la maison et de faire la connaissance de Selma.
— Ça nous fait plaisir aussi de prendre un café avec ...
... toi. J’avais parlé à Selma de notre rencontre au séminaire et de nos conversations et elle était impatiente de te connaître.
Je lui disais ça en lui lançant un petit coup d’œil rieur.
— Installez-vous dans le canapé. Café pour tout le monde ?
Nous nous sommes enfoncés dans le canapé. La robe de Selma est remontée au milieu de ses cuisses avec ce mouvement. J’ai remarqué qu’elle ne cherchait pas à la redescendre. Un signe de plus que quelque chose allait peut-être se passer.
Lucien est arrivé quelques minutes plus tard avec trois expressos qu’il a posés sur la table basse. Puis il s’est installé sur un tabouret qui surplombait le canapé. Selma s’est redressée pour prendre son café puis s’est avancée pour prendre sa tasse. Immanquablement, en se penchant pour attraper la tasse, son décolleté s’est ouvert et j’ai vu Lucien plonger son regard dans les seins offerts de ma femme. J’étais de plus en plus excité par la situation. Je voyais Lucien en train de la mater sans beaucoup de discrétion et Selma s’offrir à ses regards avec consentement. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien, boulot, vacances à venir…
Selma a fini par aborder, la première, notre rencontre en séminaire :
— Alors ce séminaire ? Vous avez fini par sympathiser. Heureusement que vous aviez des soirées pour décompresser. Vous avez picolé, non ?
Nous avons ri un peu nerveusement à son allusion.
— Ouais, c’est vrai. On a bu, on a déconné, on s’est un peu raconté nos vies. Il paraît que ...