1. Vengeance perverse


    Datte: 23/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Flyx13, Source: Hds

    ... parking désert ou d’une sordide aire d’autoroute, des fois même, elle voulait se faire prendre sans s’y attendre par n’importe qui, elle s’amusait donc à chauffer les mecs pour les pousser à la soumettre, à l’humilier et à la saillir. C’était un comportement totalement inconscient, et elle le savait mais ne pouvait pas s’en empêcher, sa perversion était plus forte qu’elle. La mienne n’était pas à la hauteur pour elle, raison pour laquelle elle n’avait pas voulu aller plus loin, même si elle a avoué aimer ma bite. Ça faisait bien deux ans que je ne l’avais pas vu et elle avait l’air changé d’apparence, plus sérieuse mais, je ne sais pas, quelque chose me disait qu’au fond d’elle-même, sa perversion extrême était toujours présente, son parfum si spécifique en était la preuve. Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder, son beau cul rebondi parfaitement moulé dans sa jupe, on pouvait deviner distinctement ses deux fesses bouger l’une après l’autre lorsqu’elle marchait. On devinait aussi facilement que si elle portait un sous-vêtement, celui-ci ne devait vraiment pas être très fourni en tissu car on ne le remarquait même pas… Elle demande un paquet de cigarettes, le buraliste le lui tend puis elle paie son paquet, le met dans son sac à main et fait volte-face pour sortir du bar. Je me penche discrètement et arrive à apercevoir son visage. C’est bien elle. Elle roulait encore plus du cul qu’à l’aller, et je suis sûr qu’elle le faisait exprès, par provocation. Une autre salve de ...
    ... son odeur me remit une nouvelle gifle, et là, mon sang ne fit qu’un tour. Elle me trouvait trop soft pour elle ? J’allais lui prouver que je pouvais être pervers moi aussi !! J’avale alors mon verre d’une seule traite, me lève et sors en vitesse pour la suivre.
    
    Je la suivais à une bonne dizaine de mètres, et je sentais toujours les effluves de son parfum qui entretenaient cette envie de lui donner une bonne leçon, histoire de la punir elle, et indirectement celle qui m’avait cocufié. Je ne voyais qu’une chose : son cul, son décolleté, ses jambes, cette foutue odeur… Je n’avais envie que de la baiser, la baiser comme une chienne, histoire de me défouler.
    
    J’attendais le bon moment. Les rues n’étaient pas trop bondés, mais pour ce que je voulais lui faire, valait mieux un minimum de discrétion. On sembla marcher une éternité quand elle prit la direction de la gare. Dimanche aidant, elle était pratiquement déserte. Elle prit les escaliers pour prendre le passage souterrain, et je ralentis un peu pour pas me faire griller, guettant le bruit de ses talons, et une fois en train de remonter de l’autre côté, je me précipite pour la rejoindre. Je monte doucement et la vois qui se dirige à l’abri d’une petite bâtisse sur le quai de la gare, luttant contre le petit vent qui soufflait pour allumer sa cigarette. Elle finit par l’allumer et reste là, sortant son téléphone et pianotant dessus, presque dos à moi, négligemment appuyée contre le mur. C’était le moment ou jamais, la gare ...
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