1. Toi en moi


    Datte: 22/12/2020, Catégories: fh, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, uro, tutu, portrait, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... peu, elle ne rentrera pas mais elle me soigne là où je me consume. Tes doigts entrent en action. Qu’ils sont pressés, eux aussi ! Combien sont-ils ? Ils me semblent si nombreux, si curieux qu’ils courent à la fois sur mes lèvres de haut en bas et qu’ils s’enhardissent jusqu’à mon anus que je ne peux pas défendre dans cette position plutôt inconfortable. S’il te plaît, laisse-le tranquille aujourd’hui, tu connais ma répulsion à t’accorder cette faveur, cela sera pour bien plus tard ou jamais. Je sais, il est déjà humide mais il n’est pas prêt, pas maintenant. Me comprends-tu ?
    
    Oh ! Tu t’enfonces d’un seul coup dans mon vagin ! Il faut dire que tout est si trempé que toutes mes résistances disparaissent les unes après les autres. Un doigt, ce premier voyageur, ne suffit pas, il se sent trop seul et pas assez puissant pour me vaincre. Un deuxième arrive aussitôt à la rescousse. Comme tu la fouilles ma caverne ! Aucun recoin ne t’échappe, à chaque fois c’est un peu une nouvelle exploration, tu en découvres toujours plus, tu t’aventures bien au-delà de mes espérances. Vais-je demeurer une terre inconnue pour toi ? Au moindre frôlement, c’est à peine si parfois je te sens avancer. Au plus petit contact intentionnel, il se produit une décharge électrique, alors je me recroqueville, je me tends, je me ferme brutalement pour me rouvrir aussitôt encore plus béante. Je ne respire plus, je gémis, telle une des bêtes sauvages qui pourraient peupler cette forêt. Je halète, je manque ...
    ... d’air, tu vas m’asphyxier par l’intérieur.
    
    Ce n’est pas possible, encore un autre doigt, mais ta main va s’introduire en moi, tu vas m’écarteler, me trouer, me transpercer ou agripper mes entrailles. Jusqu’où iras-tu ainsi, car je ne peux plus m’opposer à toi ? Reste là ! Ne va pas plus loin ! N’es-tu pas bien ainsi à me masser, à me malaxer et à baigner dans mon jus.
    
    Pourquoi abandonnes-tu mon tunnel d’amour que tu as su si parfaitement dompter ? Regarde, il n’en peut plus. Ah ! C’est parce que tu l’avais oublié, lui, mon clitoris ! Tu sais bien qu’ils ne vont pas l’un sans l’autre, ce n’est pas qu’ils se complètent comme deux pièces d’une mécanique précieuse, non, mais à un moment, je ne peux pas te l’expliquer, il faut qu’ils soient l’objet des mêmes caresses, des mêmes intentions. Tu l’as enfin trouvé ! Je sais, parfois c’est un peu compliqué car il se fait très discret, mais il est bien présent. Triture-le, frotte-le avec vigueur ! Sois sans crainte ! Tu ne le blesseras pas, il est fragile mais à cet instant, c’est lui le plus fort. Tu sens comme tout cela durcit, mes lèvres se gonflent, se remplissent d’une étrange façon. Tu le devines bien ce mur de chair qui se dresse sous tes doigts, tu passes et repasses dessus, tu le malaxes, tu le pétris, tu le modèles. Il est prêt à se briser, à voler en éclats, à exploser en mille morceaux, poupée de verre surchauffée.
    
    Oui, je suffoque de nouveau, mon répit n’a été que très passager. Je ris, je pleure, je voudrais dévorer ...
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