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COLLECTION ZONE ROUGE. Pratiques ancestrales (1/1)
Datte: 20/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... après-demain j’accepterais qu’il me rejoigne je vais jouir comme avec. D’un coup elle s’arrête voyant qu’elle en avait trop dit. - Tu le trompes. - Non, je me trompe. - Avec qui ? - Fahim le fils des voisins, il me rejoint par la terrasse dès qu’Hachim ouvre notre boutique de fruits et légumes. - Il te baise au-dessus de sa tête. - Oui et cela renforce mon plaisir de le cocufier dans notre chambre. C’est ma façon de me venger de m’avoir épousé malgré notre différence d’âge et de m’avoir fait trois enfants. - Il met des capotes. - Non, mais après mon troisième enfant Juliette ma copine d’enfance est venue passée une semaine et elle m’a apporté trois mois de contraceptif. Depuis elle m’approvisionne cher mamy qui est loin de se douter que les colis qu’elle reçoit viennent des stocks de l’organisme où elle travaille et qui les distribue aux jeunes filles qui viennent la voir ayant déjà avorté une fois. Tu sais pour elle, la vie est bien plus simple que pour nous ici. D’ailleurs j’ai partagé avec elle Fahim qui pendant les trois derniers jours ou elle était avec moi nous à baiser toute les deux pendants. Une nouvelle fois elle s’arrête semblant en avoir trop dit. - Pendant ? - Eh bien, je t’ai donné un conseil tout à l’heure pour garder ton hymen avec les garçons. Je vais t’en donner un autre, si tu as une copine, gouine-toi avec en faisant attention qu’elle te caresse la chatte avec sa langue sans y mettre les mains, un ...
... accident est vite arrivé, deux doigts sont capables de faire autant de dégâts qu’une queue de garçon. - Tu es donc une gouine. - Non, je suis bisexuelle, j’aime autant les femmes que les hommes, mais ce sont les coutumes que nous imposent les personnes comme notre père qui nous amène à devenir bi-sexuelle. Tu sais, j’ai appris à aimer, tu verras, si tu le fais, tu en seras satisfaite. Dès que j’ai été de retour en France, j’ai suivi son conseil et mon père vient de lui dire ce que je propose ! J’ai ajouté que s’il refusait, je m’ouvrirais les veines. J’ai toujours été sa préférée en plus de son garçon parmi les filles car je travaille bien à l’école et ainsi en me mariant en France il me gardera près de lui. C’est à la rentrée de ma fac de médecine où je suis inscrite que je rencontre Aymeric, qui comme moi a choisi médecine et viens à la fac de Nanterre ses parents lui ayant loué un studio à deux pas de chez mes parents. C’est dans la rue allant vers le métro que je le reconnais la chance qui a voulu qu’il s’assoie près de moi dès le premier jour. Quinze jours tard je monte chez lui pour récupérer un copié qu’il a fait sur Internet et qui va me faire gagner du temps m’évitant de recommencer moi-même la recherche. Pour la première fois un garçon m’embrasse. J’aime sa langue dans ma bouche. Il met sa main sur mon sein là encore j’accepte. Il veut franchir une étape qui comme me l’a dit ma sœur est un interdit chez nous et j’intercepte sa main ...