Ma Vie Ch. 03
Datte: 19/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... table et ceci expliquait sans doute cela. Il y eut un instant de silence pesant quand ma mère relança un débat sur la nouvelle mode chez les jeunes de se faire tatouer ou percer, Carole n'était pas aussi négative sur le sujet et leur discussion reprit comme précédemment sur des sujets qui ne 'intéressait pas suffisamment pour que j'essaie de la suivre, et encore moins de m'en mêler.
Assis tranquillement dans mon coin, j'observais avec ravissement la complicité évidente qui était née entre les deux femmes en l'espace d'une soirée.
Carole partit vers minuit, en m'embrassant longuement, lovant de manière autoritaire sa langue dans ma bouche. Je sentis mon sexe se raidir dans mon jean et refermai le porte à regret sur mon amante.
Quand je revins dans le salon, je ne pus m'empêcher d'interroger ma mère.
« Alors, comment tu la trouves »
« Elle est adorable »
L'expression me surprit.
« Nous avons discuté comme si nous nous connaissions depuis des années »
« Oui, j'ai vu »
« Je te remercie Pascal d'avoir fait le service »
« De rien maman, ça m'a fait plaisir de vous laisser discuter ensemble »
Elle se leva de la banquette
« Bon, allez, il est tard, on va se coucher »
Quand je vis Carole, le lendemain, je lui posai la même question. Elle me fixa avec un regard étrange.
« Ta mère est une femme formidable...si ce n'était pas ta mère, je m'en ferais bien une amie »
« Qu'est-ce qui t'empêche d'être amie avec ma mère? »
« Je ne sais pas...ça ...
... me paraît difficile...je ne sais pas pourquoi »
À partir de ce jour, Carole vint manger fréquemment à la maison et la même scène se reproduit à chaque fois, moi faisant le service et elle discutant ensemble, sans trop faire attention à moi »
Et puis un jour, Carole me proposa de venir m'installer chez elle. J'en parlais avec ma mère qui ne parut pas surprise. J'emménageai chez Carole le jour du 9ème mois de notre rencontre. Dès les premiers jours, il fut évident que Carole attendait de moi que je fisse l'essentiel du ménage. Cela ne me gênait pas. J'étais tellement amoureux que j'aurais fait n'importe quoi pour lui être agréable. C'est à peu près à cette période que notre sexualité changeât. Elle Je me souviens très bien de ce soir fatidique. Comme très fréquemment, j'avais commencé par la sucer, m'immergeant dans l'odeur musquée de son sexe, et sitôt qu'elle avait été suffisamment excitée, elle m 'avait fait m 'allonger sur le dos pour venir s'empaler sur ma verge rigide. Et comme très fréquemment, j'avais joui en elle avant qu'elle n'est eut son plaisir. Mais cette fois, elle ne se satisfit pas de ce plaisir avorté. Elle se souleva légèrement, laissant sortir d'elle mon membre encore en partie érigé, et se décalant, vint poser sa chatte sur ma bouche, ajoutant d'une voix ferme
« Tu me nettoies et ensuite, tu me fais jouir »
J'étais dégoûté parce qu'elle me demandait de faire. Son sexe avait une odeur chaude d'écuries. Je pouvais voir des gouttes épaisses de mon ...