Yves 5 suite - Histoires de Sexe

Yves 5 suite

... dirais avoir vu un chien rôder autour de la remise ! Peu importe en fait, je trouverai une excuse si besoin mais j’avais envie de ce moment pour le moins surprenant et empli de vice ! La seconde partie, de pelouse, je levais les pieds d’un pas moins sûr mais sentais cette fraîcheur me remonter sur les fesses nues.

Yves, caché dans la remise m’a laissée entrer et j’ai laissé la porte entrebâillée ! le temps de rire de cette situation pour le moins cocasse et de lui dire qu’il était fou et Yves me saisissait les hanches me serrant contre lui. Un baiser fougueux annonçait la couleur. Ses mains me palpaient déjà les fesses par-dessous la nuisette. Je le repoussait un instant lui demandant une minute et j’ôtais mon fin peignoir que je mettais sur une vieille chaise à ma gauche. Impatient et sous le charme de ma tenue mon cher compère me pinçait les tétons tout en embrassant mes épaules nues ou presque puisque seules deux fines bretelles tenaient ma nuisette. Loin de se soucier du reste Yves me pelotait de toutes parts. Ses mains tremblantes visitaient mon entrejambe et il murmurait que j’étais trempée de désir pour lui, ses doigts s’enfonçaient dans mes hanches me forçant ainsi à me cambrer alors qu’il s'agenouillait et passait la tête sous le tissu pour quelques petites morsures dont il a le secret. Déjà je ronronnais de plaisir malgré mes contorsions pour regarder par la petite fenêtre en direction de la maison. Un doigt, puis deux, il me fouillait la chatte en grognant qu’il ...

... avait une folle envie de me baiser ! Sans réponse, je me contentais de ronronner de plaisir sous ses doigts habiles qui remuaient en moi tandis qu’il me léchait le bas du ventre. Je regardais à la fenêtre tout en lui caressant les cheveux, rugissante de ce plaisir indéfinissable.

Lorsqu'il s’est redressé, c’est pour m’abaisser, d’une main ferme sur l’épaule.. Il extirpait sa queue de son caleçon me disant, m'ordonnant de le sucer ! À peine avais-je temps de lui dire « regarde » qu'il me collait sa belle tige dans la bouche. La tenant à sa base, je me suis mise à lui pomper la verge avec folie, rapidement c’est la peur qui m'a freinée ! Pas certaine qu’Yves surveillait la maison, je n’étais pas rassurée et me redressais par deux fois jetant un œil à la fenêtre ! Probablement agacé, Yves m'a saisit le bras la seconde fois et m’a poussé vers la fenêtre en me disant de surveiller !

En moins de trois secondes, je me suis retrouvée les mains sur la cloison à gauche de la fenêtre, penchée en avant les doigts de mon amant me fouillant les fesses ! Je me suis instinctivement cambrée, grognant « vas y prends-moi ! » pourtant pas dans mes habitudes de lui parler ainsi ! Lui s’en est amusé, s'accroupissant derrière moi et se mettant à me lécher les fesses. Le bougre m’écartait les cuisses et m’administrait de grands coups de langue parcourant ma raie en appuyant bien fort le geste ! Je rugissais de plus belle posant le pied sur la vielle chaise maintenant à ma droite. Sans quitter ...