1. Post-divorce - épisode 11


    Datte: 19/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... temps.
    
    - C’est plus répandu qu’on ne le croit. Toujours est-il que me concernant, plus c’est extrême, plus j’aime.
    
    C’est la raison pour laquelle je dois toujours me mettre d’accord sur ce que l’autre souhaite et ne souhaite pas parce qu’une fois lancé, mes seules limites seront celles que nous avions fixées.
    
    Mal à l’aise, je me lève à mon tour et vais me resservir à boire :
    
    - Que je comprenne bien : après la soirée que je viens de passer, vous m’avez fait venir pour me proposer de me torturer ?
    
    - Oui. Graduellement et en respectant scrupuleusement vos appétences. Mais surtout dans un contexte particulier qui peut vous motiver à accepter. J’aime officier comme s’il s’agissait d’un film. Je scénarise avant, je renforce l’immersion avec des costumes, des accessoires d’époque. C’est assez récent comme approche mais j’adore ça…
    
    - Un genre de jeu de rôle sexuel. Vous devenez un bourreau au moyen-âge et la victime un condamné ?
    
    - Vous souriez mais oui, c’est l’idée. Je suis chirurgien de profession. A la retraite, comme vous pouvez l’imaginer, mais un très bon donc d’un point de vue strictement pratique, je sais ce que je fais. Je peux vous faire hurler de douleur sans que vous n’ayez la moindre marque, vous savez !
    
    - Ça donne envie…
    
    - Ne soyez pas cynique, vous comprenez ce que je veux dire.
    
    Je me rassois et il fait de même mais sur le même canapé que moi.
    
    - Alors, qu’est-ce que vous en dites ?
    
    - Franchement, je ne suis pas certain d’être dans ...
    ... mon assiette pour vous répondre après cette soirée.
    
    - C’est bien normal. Et je conçois que ma proposition demande réflexion. Mais vous ne dites pas non. Je sens que vous êtes intrigué et je sais que vous avez envie d’essayer. Si on vérifiait, je suis même sûr que vous bandez.
    
    Il a raison et il sourit quand je rougit comme un gamin. Je me dis que je suis vraiment un tordu de première. Il pose sa main sur mon genou :
    
    - Voilà ce que je vous propose : j’ignore tout de vous alors que vous savez ou j’habite ; la prise de risque vous concernant est donc nulle. Je vais vous donnez quelque chose qui vous éclairera sur ce que je propose bien plus clairement que n’importe quel discours. Vous souhaitez donnez suite, vous me contactez et on discute des détails. Sinon, on oublie tout.
    
    - Ça me semble honnête.
    
    Il se lève, sort du salon et revient après quelques minutes avec un DVD qu’il me tend et il y joint une carte de visite sur laquelle figure un simple numéro de portable. Nous nous serrons la main – un peu trop longuement – puis il me reconduit jusqu’à ma voiture où il me souhaite bonne route. Je prends sur moi pour ne pas me branler dans l’habitacle et je regagne mes pénates. Une fois la porte passée, je n’ai plus sommeil et c’est avec fébrilité que j’insère le DVD dans le lecteur.
    
    Ça n’est pas un support professionnel : pas de menu, une douzaine de fichiers vidéos de taille diverses à même la racine. La date des données s’étale sur six ans. Je sélectionne le plus ...