Ode d'une soirée
Datte: 18/12/2020,
Catégories:
amour,
Auteur: Nayru, Source: Revebebe
Bonjour à tous,
Ceci est un petit poème que j’ai décidé d’écrire sur l’union de deux personnes, un jeune homme et une jeune femme, qui sortent ensemble depuis un bon petit moment. L’homme s’appelle Charles, étudiant pour un brevet de technicien supérieur en informatique de gestion, option création de logiciels ainsi qu’administrateur de réseaux, et la femme se nomme Margareth, étudiante également, mais pour un brevet de technicienne supérieur en assistance de direction, option comptabilité et gestion d’économie d’entreprise. Ces deux tourtereaux se sont rencontrés au lycée, par l’intermédiaire de deux bons amis il y a 3 ans, et depuis ils vivent le parfait amour.
Des baisers fous nous échangeâmes
Ta langue tu enfouissais aussi profondément que mon âme
Caresses, câlins nous nous sommes adressés
Des mots comme "je t’aime" ont été dévoilés.
Au fur et à mesure que les caresses se sont faites
Une chaleur incessante s’est établie, c’est un fait
L’érotisme se faisait de plus en plus ressentir
Des attouchements plus prononcés commençaient à venir.
C’est alors que tu t’es éloigné de moi,
Mon corps tu as plongé dans un profond effroi
Mais c’est à ce moment que tu m’as invité
Dans ton lit douillet mais pas pour rejoindre Morphée.
Chemise, parure, soutien-gorge dégrafé,
Que vois-je, une poitrine de Déesse révélée.
Mini-jupe, nylon, culotte enlevée,
Vénus, rêve de tout homme, m’a été présentée.
Soudain, mon corps a réagi
Vêtements ...
... et caleçons, tout était fini.
À la place de ceux-ci, un petit bâton tendu
L’ustensile de plaisir que tu avais tant attendu.
Tu m’as alors plaqué contre une chaise
"Ne t’inquiètes pas" tu m’as dit, "Je te mets à l’aise"
Moi assis, toi à genoux devant moi,
Tu allais m’offrir un cadeau qui me plongerait dans un émoi.
Les mains posées sur mon arrière-train,
Tu as décidé de prendre les choses en main,
Je ne pouvais qu’esquisser un sourire,
Mon cœur commençait déjà à défaillir.
Un coup de langue, un mordillement,
M’annonçait un vol direct au firmament,
Succion, mise en bouche me faisant gémir,
J’ai tout de suite compris où tu voulais en venir.
Malgré le fait que mon phallus grandissait de plus en plus,
Un bel engin dans la bouche de ma petite puce,
Tu n’as pas hésité à pousser au fond de ta gorge
Pour m’offrir le plus grand bien, petit sucre d’orge.
Même si la fréquence des spasmes commençait à te prévenir,
Je t’ai quand même dit galant, que j’allais jouir,
Mais faisant la sourde oreille tu n’as pas écouté,
Les mouvements de ta fellation tu as alors amplifié.
De ma bouche, il ne sortait que des cris,
Ou encore la seule phrase "Plus fort je t’en prie",
Ma main appuyait de plus en plus sur ta tête
Tout mon sexe dans ta bouche il fallait que je mette.
Les cris perçants, mon cœur battant la chamade,
Mon pénis ne chantait que la sérénade,
Rempli de salive les bruits de va-et-vient se sont formés
Mon ...