1. La belle saison 8/8


    Datte: 18/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... ma hampe coulissent et laissent échapper mon gland, sur lequel je sens l’air encore frais du matin. Sa main serre la base de mon sexe et descend sur mes boules qu’elle serre. Je sens le chaud étui de sa bouche en aspirer une, puis l’autre, les agaçant du bout de la langue. Pendnat que ses doigts titillent mon frein et le bout de mon gland. Elle remonte et saisissant mes fesses à pleine main, commence à pomper mon gland, ressortant à chaque fois, en me dévisageant par en dessous, accélérant la cadence de plus en plus.
    
    Je sens mon plaisir monter.
    
    Je voudrais qu’elle s’arrête, mais elle accentue sa prise,et me pompe de plus belle. Un de ses doigts vient violet mon anus, et déclenche mon plaisir en spasmes qu’elle absorbe courageusement . Le sperme s’écoule au commissures de ses lèvres, mais elle continue sa fellation, jusqu’à ce qu’elle me sente ramollir dans sa bouche.
    
    Elle crache par terre l’excédent, et me reprend en bouche jusqu’à ce que je sois parfaitement nettoyé.
    
    Elle se relève, l’air satisfaite d’elle même, mais moi je ne le suis pas.
    
    Sans attendre, je la saisis par la taille et l’assois d’autorité sur le capot de ma voiture. Je tête avidement ses seins, et je la sens réagir, mais je contine et l’a pousse en arrière, l’allongeant sur le capot, les jambes pendantes. Je n’ai qu’à repousser la dentelle de sa jupe pour découvrir son intimité sur laquelle je me jette gouloument. Je cherche son clito que je débusque aisément et commence à le suçote, le ...
    ... faisant grossir. La belle passe ses jambes sur mes épaules pour me signifier son assentiment. Je lape longuement la mouille qui suinte de sa fleur de corail qui s’ouvre, comme un hibiscus à la rosée. Rapidement elle se met à geindre et cambre les reins, décollant ses fesses du métal, pour venir à la rencontre de ma caresse buccale. La mouille dégouline entre ses fesses . j’introduis deux doigts dans sa chatte et la fiste doucement. C’est chaud et humide et déjà bien ouvert. Mes doigts suivent la coulée de liqueur et arrivent sur sa rosace déjà humectée. J’y introduis un doigt sans rencontrer de résistance, puis un deuxième, qui provoque quelques plaintes, mais je sens, petit à petit, cette gaine là s’élargir sous mes doigts.
    
    Son plaisir montant a dopé mon désir et j’ai de nouveau une bonne érection.
    
    Sans attendre, je la fais glisser au bord du capot, et tenant ses jambes, je m’enfonce en elle d’un trait. Cramponné à ses cuisses ouvertes, je la besogne vigoureusement, mais la position n’est pas idéale.
    
    A sa demande, je me retire et la laisse se relever. Nue sur ses très hautes chaussures, elle s’accoude au capot, et cambre les reins, jambes légèrement écartées. La hauteur de ses talon fait que je suis parfaitement à la bonne hauteur, et , je viens l’embrocher avant de la limer longuement, attentif à ses encouragements
    
    « Là, c’est bon, vas y, bien au fond. Hummm, c’est bon là, un peu plus vite. Ah, ah ah, ah,
    
    c’est çà ! encore ! encore ! Je la sens bien tout au fond. ...
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