1. Parking


    Datte: 17/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Falover, Source: Hds

    ... de sa voix rendue grasseyante par l’abus du cigare il dit : tu avale. J’ai presque un haut le coeur je n’offre jamais cela, même à mes amants, alors dis aussi brutalement, je ne m’y étais pas préparée cette fois et moi qui adore sucer je m’inquiètes. Dans un presque cri je dis : ça vas pas t’es malade. Alors, comme par miracle mon gros cochon rose si sur de lui tout à l’heure, demande d’une voix radoucie : Et si je donne plus, je peux te baiser. Je saisi l’occasion, elle est inespérée, je ne dois pas la laisser m’échapper. Je triple le prix que Perrine m’avais indiqué, espérant presque un refus, mais c’est sans compter sur les capacités du monsieur, car comme la voiture et le reste le démontrai, il peut mettre cher. Je ne suis même pas certaine que le cigare de tout à heure ne soit pas d’un montant aussi important que ce que je viens dire et pourtant je n’ai pas été raisonnable. Aussi je commence à déboutonner mon corsage et je fais glisser ma culotte au pied du siège de cuir. Mon bonhomme est imposant aussi passons nous sur la banquette arrière. Je me mets a genoux, ça me permettra d’échapper à la vue, quoi que pour un homme aussi fort sa bite est tout a fait normale, encore une idée préconçue qui s’efface au profit d’une réalité que je voudrais pourtant plus douce. A genoux après l’avoir encapuchonné, je le sens qui met ses mains sur mes hanches et je prends son membre en moi sans plus de délai, moi toujours à genoux sur la banquette et lui debout hirs de l’auto , le ...
    ... pantalon sur les chevilles. Heureusement que je suis lubrifié en permanence, sur les conseils de Perrine qui connait son affaire. Le voila qui me besogne et qui met des grands coups en ahanant. Je le sens venir, tant mieux, je sais que si je dis la bonne phrase, ce ne sera plus long et je pourrais passer à un autre, un qui me donneras moins mais qui me plaira plus. Il éjacule d’un coup, un seul jet peu abondant mais que j’essuie en réprimant une grimace lui s’agenouille presque dehors sur le coté de la Mercedes. Enfin c’est fini, je me reculotte et lui aussi. Je lui demande si il veut bien me remonter en surface il acquiesce visiblement satisfait ou soulagé et nous remontons les étages tout les deux, lui au volant, moi assise à coté. Je me dis que cela n’as pas été si dur, que je m’effrayais pour peu de chose et cela fut plutôt rapide en fin de compte. Il me dépose devant la barrière et je vois les feux rouges de la Mercedes s’enfoncé du coté de la rue des Batignolles. Perrine me questionne du regard. Je souris et en m’approchant d’elle je lui souffle le prix obtenu. Je vois à ses yeux que j’ai marqués un point. Ce moment ne me laissera pourtant pas un grand souvenir. Le temps passe, un peu vide d’action, la rue reste déserte, cela nous permet d’engager la conversation avec Perrine. Cette dernière me donne une info qui me laisse un peu abasourdie. Rouge de confusion, j’apprends que le parking est protégé, ce qui me rassure, mais qu’il l’est par l’intermédiaire d’une société ...