saga africa (3)
Datte: 17/12/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... jets de sperme, tout en jetant des coups d’œil vers les autres convives.
Sous mes caresses, le sexe de Marc avait pris des proportions imposantes, et j’avais hâte qu’il me pénètre. Mais je fis durer le plaisir, le prenant tout entier dans ma bouche, le pompant avec force, le mordillant.
Marc poussait de petits grognements de plaisir, et les voyeurs s’approchaient. Ne résistant pas à mon goût pour l’exhibition, je m’agenouillai, reins bien cambrés, pour leur offrir le spectacle de mon petit cul, et de ma fente maintenant bien humide.
Je poursuivis cette fellation pendant de longues minutes - Marc s’avérait être un partenaire très endurant - jusqu’à ce qu’il me fasse m’installer sur lui, en 69. Je sentis aussitôt ses doigts et sa langue se lancer à l’assaut de mon minou.
Il était d’une adresse diabolique, semblant deviner les caresses que j’attendais. Il n’eut aucune difficulté pour débusquer mon clito, qu’il aspira, titilla tant et si bien que je dus me retenir pour ne pas succomber à l’orgasme. J’appréciai donc encore plus quand je compris qu’il avait décidé de défoncer mon minou affamé.
Je me ruai alors littéralement sur Marc, enjambant son corps, et empoignant sa verge pour mieux contrôler la suite des évènements.
Il me caressait, m’embrassait les seins, tout en m’encourageant :
— Oui, c’est ça, vas-y ! Viens t’empaler sur ma bite, espèce de petite salope... Tu la sens bien, rentrer dans ta chatte ?
— Oh, oui, c’est trop bon, murmurai-je tout en ...
... gémissant. Je la sens me remplir... Oh, comme j’aime ça !
C’est toujours un moment indescriptible pour moi, quand un gland gonflé envahit lentement ma grotte lubrifiée par le flot de cyprine de mon désir. Les mains de Marc, écartant mes fesses cambrées pour le plus grand plaisir des invités qui nous regardaient, décuplaient ces sensations.
C’était parti pour une folle chevauchée ! Bien calée sur mes genoux, j’imprimais moi-même le rythme de ses allées et venues au dard qui me remplissait. J’accélérais, je ralentissais, je contractais mes muscles autour de la queue plantée en moi, je me soulevais - comme pour mettre un terme à ce coït - pour me mieux laisser retomber d’un coup.
Marc parvenait à se contrôler, je ne sais comment, mais je me laissai submerger par le plaisir, criant sans retenue.
Mon partenaire attendit que j’aie fini de jouir, pour me faire changer de position, et m’agenouiller à quatre pattes. Aussitôt, je sentis son sexe s’insinuer dans mon abricot gonflé, sous les commentaires des voyeurs :
— Vas-y, Marc ! Baise-là bien à fond, elle ne demande que ça !
Ces commentaires, loin de provoquer en moi un sentiment de gêne, fouettaient mon désir. Marc se mit à pilonner ma chatte, et je soulevai une de mes jambes, pour que mes spectateurs n’en perdent pas une miette.
J’étais sur le point de jouir de nouveau, mais Marc avait une autre idée en tête. Il se releva, me prit dans ses bras. Accrochée à son cou, je l’embrassais longuement, pendant que sa bite ...