1. Dix femmes... dix destins (5)


    Datte: 16/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... frangine a fait une incursion dans son antre. Tout est bien en place, les fringues sales ont disparu, et le lit est tiré.
    
    Alors il se colle le nez dans un code pénal et oublie le reste. Une petite heure plus tard, les odeurs de cuisine le dérangent, et pour que son estomac ne réclame pas trop fort, il tire la porte. Et pour faire un break, il ouvre sur son ordinateur portable, un de ces sites un peu légers où des femmes toutes plus belles les unes que les autres font des trucs dont tous les hommes rêvent. Naturellement le résultat est plus que probant, et ceci très rapidement. La porte fermée lui procure la discrétion dont il a besoin.
    
    Sur l’écran, la fille a des cheveux roux. Simple coïncidence ? Pas si sûr, parce que depuis un moment Stéphane est un peu obnubilé par sa grande sœur. Celle sur l’écran a la langue agile et le feu aux trousses. Sur les images qui défilent, ce n’est qu’une partie de sexe débridée. Mais la violence des clichés est si forte qu’au bout d’une minute le jeune homme ouvre sa braguette. La tige qui émerge du slip du garçon se cale parfaitement dans le creux d’une main qu’un poignet leste agite frénétiquement. C’est rapide, c’est court. Le kleenex finit de torcher les gouttes éparses d’un lait crémeux.
    
    — oooOOooo —
    
    Judith a vu son frère rentrer un peu plus tôt que d’ordinaire. Après la bise usuelle marquant leur fraternité, il a bien vite gagné sa chambre. La porte non close, lors de plusieurs coups d’œil, elle l’a trouvé occupé sur son ...
    ... grand livre rouge. Le « Dalloz » est depuis longtemps son unique livre de chevet. Alors, affairée à cuisiner un bœuf bourguignon et de la purée pour une dinette en tête à tête, elle n’a pas entendu la cloison de bois se refermer. Lorsqu’elle s’en rend compte, elle se demande bien pourquoi Stéphane a besoin d’intimité.
    
    Quelque part l’histoire de sa petite culotte maculée de semence revient comme un éclair un soir d’orage. Et curieuse, elle se déplace sur la pointe des pieds. Il n’y a que peu d’espace entre la cuisine et la piaule de son frérot. S’il a pris soin de tirer la porte, il n’a pas pensé à tourner la clé dans la serrure. Et le spectacle par le trou de celle-ci est édifiant. Assis devant son ordinateur, le gaillard astique une queue qu’elle devine plus qu’elle ne la voit. Les écouteurs sur les oreilles, il semble lire une vidéo intéressante.
    
    La jeune fille reste de longues secondes à suivre la course de la pogne qui monte et descend. Puis la fusée blanchâtre qui jaillit pour ensuite disparaitre dans un mouchoir jetable… Elle se sent humide de partout. Ce petit con avec sa branlette lui a mis le feu au derrière. Et toujours sur son siège, il continue à masser généreusement ce manche qui vient pourtant de pleurer. Judith ne sait plus trop quoi faire. Elle aimerait bien elle aussi se caresser… mais sur la gazinière sa popote mijote. Elle reflue discrètement vers sa cuisine.
    
    Une heure plus tard, la table dressée, Judith appelle son frère.
    
    — Stéphane, tu veux bien ...
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