Yuan : À Xavier de se confier
Datte: 16/12/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
vengeance,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
amourcach,
extraconj,
Auteur: tortue675, Source: Revebebe
... certaine manière jaloux. Marie avait de jolies formes et de bien plus gros seins que sa sœur.
Les repas de famille étaient donc un plaisir pour les yeux et les sens. Je revenais toujours assez excité par ce que j’avais pu voir. Isabelle m’avouait les confessions intimes de sa sœur, parfois dans les détails, cela ne me laissait pas indifférent. Enfin, j’essayais de garder ce ressenti à l’intérieur de moi-même, ne rien laisser transparaître était ma règle d’or pour la tenue de ce couple.
Tout cet univers idyllique s’est écroulé un dimanche après-midi d’automne. J’étais parti à un match de volley ball à une centaine de kilomètres de là. En arrivant à la salle, j’appris que le match était annulé car l’équipe adverse venait de subir le deuil d’un de leurs très proches. Compréhensible. Je repartis assez rapidement chez moi pour pouvoir profiter du reste du dimanche avec ma copine, déjà assez bougonne de devoir me laisser partir au match.
En arrivant chez nous, je me doutais qu’elle serait partie boire un verre avec une amie. J’allai vers la salle de bain, une envie assez forte de pisser m’avait pris sur le chemin du retour et la région parisienne, ce n’est pas la campagne : on ne s’arrête pas aussi facilement pour se soulager. La salle de bain est après notre chambre, et lorsque j’ouvris cette porte, je vis ma copine en train de baiser avec un de ses meilleurs amis qu’elle m’avait dit gay. Et de plus, son coach sportif. J’avais peut-être plus confiance en lui qu’en ...
... n’importe quel autre mec, et la voici sous lui.
Je me fis discret, personne ne m’avait remarqué. Elle fut à quatre pattes, offrant ses fesses et sa vulve luisante de mouille à son ami. La tête dans l’oreiller elle gémit au fur et à mesure des coups de boutoir de celui-ci. Il était bien monté, avec un corps quasi parfait comme un bel étalon que je croyais gay jusque là. Et il ramona ma copine jusqu’au moment où il la retourna, attrapa sa tête et lui fit sucer sa queue. Ce fut rapide, il jouit dans sa bouche, Isabelle avala tout sans rien dire et s’aplatit à nouveau pour se faire prendre encore. Bien sûr, tout cela dans la plus pure posture animale et sans protection.
J’en étais choqué. Mon monde s’effondrait. Je m’éclipsai rapidement sans rien dire, rien faire, et partis de l’appartement.
Comment décrire la suite de la soirée ? Je pris la voiture et m’évadai de Paris. J’avais besoin d’air. De crier ma rage dans un champ, une forêt, de vider mes intestins de la haine qui s’emplissait à mesure des kilomètres qui s’additionnaient au compteur. Mais lorsqu’enfin j’arrivai à un endroit calme, la libération ne vint jamais. Aucune larme, aucune rage extériorisée. Je me surpris à tout contenir involontairement. La surprise, la déception de toutes ces années gâchées se mêlèrent dans mon esprit, puis lentement firent place à la mise en place d’une basse vengeance.
Je savais à ce moment-là que notre histoire était terminée. Sans confiance, avec une telle trahison, je ne voyais pas ...