L'inconnue du train
Datte: 16/12/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
voyage,
train,
amour,
pénétratio,
confession,
Auteur: Écrivain solitaire, Source: Revebebe
... ne tarde pas à sentir pointer sous ma langue.
Les premiers soupirs de plaisir me rassurent sur le ressenti de la demoiselle.
Elle ne reste pas inactive, ses mains passent avec douceur sur tout mon être, elle s’empare de mon sexe. Elle me masturbe en me regardant dans les yeux. J’ai terriblement envie d’elle ! Mes doigts parcourent à cet instant son intimité déjà pleine d’envie. Elle me susurre à l’oreille de ne pas la faire languir plus longtemps, et qu’elle meurt d’envie de me sentir en elle. Je ne me fais pas prier, nos corps s’unissent. Elle m’accueille en elle. Je m’enfonce jusqu’à la garde, lui faisant apprécier chaque centimètre de mon sexe. J’alterne rythme lent et pénétration rapide. Elle en demande encore plus, je sens ses ongles s’enfoncer dans mon dos. Je la pénètre avec plus d’ardeur encore, ses cris de jouissance m’encouragent. Jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, la jouissance libératrice intervient. Je serre fortement ma belle dans mes bras, j’aime sentir sa poitrine sur mon torse.
Nous sommes toujours enlacés, la tendresse reprend ses droits. Nous nous endormons. Je me réveille au beau milieu de la nuit, j’ouvre doucement les yeux. Voir cette déesse endormie tout contre moi me fait chavirer. Je caresse tendrement le visage de la demoiselle, sans l’éveiller. Elle est belle. Je dépose un doux baiser sur ma belle endormie. C’est le moment qu’elle choisit pour s’éveiller.
Je retrouve ses baisers sucrés. La tension monte… J’ai de nouveau envie d’elle. ...
... Elle a compris et me sourit, son consentement est scellé par l’union de nos bouches. Nos corps chauds s’unissent. Je la pénètre de nouveau avec un plaisir non feint. Mes mains parcourent toujours son corps. Nos corps ne font plus qu’un. Je me laisse guider par son corps, aiguillonné par ses soupirs d’aise et l’explosion de son plaisir. Nous nous laissons aller et laissons retomber nos corps sans se désunir. Je me rendors à ses côtés.
Le petit matin arrive, la chambre devient moins sombre et l’heure du réveil sonne. Cependant, je vois dans le regard de la demoiselle que le désir est toujours là. Rapidement, elle me chevauche et vient s’empaler sur mon sexe en érection. Nous nous embrassons avec fougue. Je me sens bien en elle, son vagin chaud et humide enserre mon sexe. Le plaisir est là. Elle se tourne et se cambre, m’invitant à continuer ce que nous avons commencé. N’écoutant plus que le plaisir, d’un mouvement ample je la pénètre, j’accentue encore sa cambrure. Je la tiens fermement par les hanches et la possède, mon sexe s’enfonce encore plus profondément en elle.
À cet instant, j’ai cessé de lui faire l’amour, je la baise franchement, elle me supplie de ne pas m’arrêter. Elle se caresse le clitoris pendant que je m’active en elle.
Le plaisir est à son apogée… J’explose.
Repus et fatigués après cette nuit de folies, nous nous levons péniblement, ne voulant à vrai dire pas nous quitter.
Je déjeune rapidement avec elle, puis elle me reconduit à la gare.
Un ...