1. Notre histoire - Deuxième partie


    Datte: 16/12/2020, Catégories: fh, ffh, fhhh, extracon, inconnu, vengeance, Partouze / Groupe Auteur: Eric, Source: Revebebe

    ... pas qui ils étaient mis à part que l’un d’eux doit être un de tes collègues selon les dires de Béa.
    — Mais qu’as-tu fait ?
    — Peu importe. La semaine suivante, je me suis donc rendue avec Chris et Béa dans le club qu’ils avaient choisi. C’est un endroit a priori réputé, avec une clientèle haut de gamme. J’ai failli renoncer devant le monde qui se pressait dans l’établissement. Nous avons commencé tranquillement à trois et les choses se sont ensuite enchaînées.
    — C’est à dire ?
    — Chris et Béa s’occupaient de moi, m’ayant déshabillée après m’avoir à nouveau bandé les yeux. Chaque fois qu’un homme s’approchait de nous, quel qu’il soit, Chris lui demandait de me baiser. Ce soir-là, j’ai eu droit à dix queues, dans la chatte et entre les fesses. Je ne compte pas ceux qui se sont contentés de nous regarder, de me toucher ou de me donner leur queue à sucer. Ils ne font pas partie du total, même si j’ai à chaque fois avalé leur semence jusqu’à la dernière goutte.
    — Mais tu t’es conduite comme une vraie salope !
    — Ne deviens pas grossier, s’il te plaît ! C’est vrai que dix mecs en une soirée, même dans tes fantasmes tu n’osais pas aller jusque-là. Mais mon sentiment premier n’était pas de prendre du plaisir mais de te faire payer ton geste ! Rappelle-toi en bien !
    — Mais tu as recommencé ?
    — Oui, bien entendu. J’y suis retourné deux fois avec Chris et Béa et je me suis donnée totalement à chaque fois. Les couples commençaient d’ailleurs à me reconnaître et savaient à quoi ...
    ... s’attendre. Autant dire que j’ai dépassé les dix partenaires ces deux fois-là. Chris et Béa ne maîtrisaient d’ailleurs plus grand-chose et j’ai enchaîné les partenaires masculins mais aussi les couples. Il m’était bien difficile de pouvoir les discriminer. Et puis les rapports saphiques venaient mettre un peu de douceur entre les pénétrations et les fellations.
    — Mais tu les embrassais ?
    — Oui. Les femmes comme les hommes. N’avais-tu pas embrassé Sylvie ?
    — À peine.
    — Mais, autant te le dire, je ne comptais pas les femmes dans le nombre que je m’étais fixé d’atteindre.
    — C’était tous les soirs où tu me disais sortir entre filles ?
    — Oui. À chacune de ces sorties, je me faisais baiser par d’autres. Si j’arrivais en tenue très légère, je passais ensuite toute la soirée nue, ou juste en bas et porte-jarretelles. Toi qui me poussais à me mettre topless à la plage, tu aurais été ravi de me voir dévorée par tous ces regards.
    — Mais tout le monde est nu ?
    — Dans les chambres et les alcôves. Mais, pour souffler, je remontais sur la piste de danse dans cette tenue, ou plutôt en l’absence de toute tenue, alors que tous les autres étaient encore habillés. Je sentais les corps se serrer contre le mien et des mains inconnues me parcourir de la tête aux cuisses.
    — Tu les laissais te toucher ?
    — Oui. C’est excitant de sentir dix mains vous toucher en même temps et de les laisser faire, même quand elles s’aventurent où elles ne le devraient pas.
    — Tu prenais donc du plaisir ?
    — Pareil ...
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