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Le Fleuve
Datte: 16/12/2020, Catégories: 2couples, couplus, cocus, vacances, amour, Oral 69, fgode, pénétratio, hgode, hsodo, échange, entrecoup, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... ouvert d’autant plus et plus longtemps que je progressais dans mes enculades privées. Voilà, elle l’a poussé assez loin pour que je sente la dureté de l’objet dans mes entrailles. Maintenant elle ne regarde plus mon cul. C’est moi qu’elle regarde, cherchant une réaction sur mon visage. Moi je ferme les yeux tout au plaisir de me faire enculer et de satisfaire en même temps une femme. Ce qu’elle y découvre doit la satisfaire car elle commence ses mouvements. Putain que c’est bon ! Les mecs qui se font prendre disent que cela augmente leur érection. J’en doutais car dans la solitude de la salle de bain, je devais me branler pour que ma queue gonfle. Mais ici c’est différent. Le mental est au maximum et mon sang doit charrier un max d’hormones. Ma maîtresse se baise. On me baise. Je caresse les seins de Prune ne voulant pas n’être qu’une queue et un cul que l’on utilise. Mais le gode part. Que fait-elle ? Pourquoi me laisser en plan. Je la vois reculer. Mais c’est pour céder la place à son amant. Marie est-elle devenue si vicieuse en une soirée qu’elle propose le cul de son mari à son amant ? Mais oui. Elle s’écarte. Il s’installe. Je ne vois pas son sexe. Il a donc déjà repris de la vigueur. Prune m’avait fait la confidence que son mari s’avait « assurer » plusieurs fois. C’est une évidence car ce que je sens contre mon cul n’est pas un bâton mou, mais la pointe d’un gland bien nerveux. La salive qu’il laisse tomber de ses lèvres n’est pas d’une élégance folle ...
... mais je la remercie de participer à la lubrification. Il fait ce dont nous avons parlé souvent. Il m’a raconté la différence de plaisir et de sensation entre un gode et une vraie queue d’homme. Je lui avais dit que moi je n’étais pas tenté. Qu’un gode suffirait sûrement surtout si c’est ma femme qui le manipule. Mais après tout comment refuser. Comment refuser ce que ma femme propose. Ce serait maladroit. Après tout elle a peut-être ce fantasme. Il pousse. Il entre sans grande difficulté. C’est vrai, c’est différent. C’est à la fois moins dur et plus puissant. Surtout, c’est comme un tison qui avance. Il avance. Il avance. Pascal s’est emparé de mes jambes et je suis maintenant une femme que son amant écarte pour posséder le plus profond possible. À côté de moi, Marie vient s’allonger. Elle me parle à l’oreille. Mais ce qu’elle me dit me parvient haché, décousu. Je ne suis plus qu’une queue et un cul. C’est bon de se laisser faire. Chacun des mouvements du couple est un délice. « Gode », « Salle de bain », Sodomie », sont des mots que Marie prononcent. Mon cul devient un boulevard que le rouleau compresseur de Pascal parcourt. Ma queue est un bâton qui devient insensible à mesure que Prune la pétris de sa grotte. « Candaulisme », « Presse papier », « Fantasmes », « Colère », « Prune », « Pascal », « Libertins », arrivent à mon oreille, mais mon cerveau est ailleurs. Tous mes neurones ne sont plus que des compagnons de sexe. Prune gémit. Elle jouit sur moi. Mon cul est ...