Le Fleuve
Datte: 16/12/2020,
Catégories:
2couples,
couplus,
cocus,
vacances,
amour,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
hgode,
hsodo,
échange,
entrecoup,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... reconstituer la part de chaque constituant. Foutre, cyprine et peut-être liquide de mon orgasme, bien que je n’aie jamais ressenti d’écoulements à cet instant. Il m’est facile de prendre la totalité de la verge dans ma bouche, mes lèvres butant sur les bourses. L’odeur est plus forte à cet endroit. L’anus n’est pas loin.
Mais déjà je sens que la queue revit. Petit à petit je suis obligée de céder du terrain et mes lèvres rampent à reculons le long de la hampe qui se déploie. Elles s’incrustent dans le sillon entre gland et hampe comme un alpiniste s’accroche au dernier piton de la paroi. Ma langue découvre la douceur de cette peau si délicate et surtout si sensible.
Sensible aussi ma chatte que Pascal explore. Lui aussi doit découvrir mais en quantité autrement plus abondante le foutre dont il m’a lessivé le vagin. Cela ne le révulse pas et je n’en suis pas étonnée d’un libertin affirmé. Jamais Cédric ne m’a fait ce cadeau. Mais aussi il aurait fallu que je le suce. C’est encore meilleur que tout à l’heure. Je suis plus ouverte et réceptive. Je n’hésite pas à pousser ma chatte pour qu’il s’en empare vraiment, que ses lèvres recouvrent les miennes, que sa langue s’aventure le plus loin possible pour revenir vers mon clito qui se tend de joie.
C’est difficile d’être concentrée pour sucer une queue alors que votre amant vous lape le minou. Un ou deux doigts entrent, s’ébrouent, ressortent, replongent, me baisant doucement. Et puis ils sortent, mais c’est pour mieux ...
... revenir. Revenir, de concert, parallèles mais chacun par un chemin différent. Je m’étonne que mon anus ne proteste pas, ou si peu, devant la phalange qui s’invite. Il me prend par mes deux trous. C’est vicieux mais que c’est bon.
C’est bon, surtout que je devine, juste à côté, Cédric qui s’est retourné. Prune n’est plus avec lui. Il s’est agenouillé sur le lit, regardant notre couple en 69. Il bande magnifiquement, résultat certainement des gâteries de sa maîtresse mais je pense aussi de ce qu’il voit. Il l’a imaginé. Mon mari le voit. Sa femme qui pompe une queue pendant que ses trous sont occupés par les doigts de son amant. Il entend aussi sortir de ma gorge occupée des grondements de satisfactions, des gargouillis que ma salive produit pendant que je pompe la queue forçant jusqu’à ce que le gland, devenu somptueux, vienne buter au fond de mon palais. Pour un peu je le sucerais jusqu’à ce qu’il me crache sa purée.
Est-il possible de virer cochonne si vite ? Cochonne, oui, certainement car ma main va s’emparer de la queue de mon mari qui sursaute de mon avancée. Je la flatte, je la caresse, j’entame une branlette. Cochonne, mais la faute à qui ? Plutôt grâce à qui ? Je sais ce que Cédric veut voir. Moi aussi j’ai envie de me montrer, de lui montrer que je peux devenir plus libertine, vicieuse. Peut-être va-t-il regretter de ne pas avoir osé plus tôt.
Plus tôt ? Mais non. Je n’aurais pas accepté. Il a fallu un concours de circonstances pour me conduire ici. Mes enfants ...