1. Prélude


    Datte: 15/12/2020, Catégories: f, hplusag, fplusag, fagée, profélève, grosseins, handicap, hdomine, cérébral, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, extraconj, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... Véronique redoubla et elle s’en alla marcher avec lui sur toute la longueur de la terrasse.
    
    — J’en ai marre d’être dans l’ombre de ton mari ! Je ne veux plus te partager, Véro !
    — Mais on était d’accord qu’à défaut de mieux, on ferait comme cela !
    — J’ai envie de vivre avec toi !
    — Mais cela viendra, chéri !
    
    Il ne répondit pas. Elle se retourna sur lui, posa une main sur la braguette du pantalon :
    
    — C’est une mauvaise passe : tu aimes trop ce que je te fais !
    
    Il esquissa un léger sourire, avant de se reprendre.
    
    — C’est fini nous deux ! Notre différence d’âge et la présence trop envahissante de ton mari sont des obstacles trop conséquents pour moi. Je préfère partir !
    
    Véronique s’immobilisa, avant de s’éloigner de lui avec sa peine… Omar retourna vers sa grosse voiture en se retournant une dernière fois.
    
    Dans la demeure, Quentin s’en alla vers la fenêtre qui donnait sur la terrasse. Il vit sa professeure poser une main sur la braguette de l’associé et il ne put s’empêcher de sortir son portable et de prendre un cliché de l’instant. Il prit d’autres photos plus focalisées sur les courbes de la professeure, avant de poser ses doigts sur sa braguette. Ce soir, il pourrait se donner du plaisir avec les photos de Véronique plutôt que de la fantasmer en salope.
    
    Quentin quitta la fenêtre pour le centre de la pièce, avant de saisir son violon et s’asseoir pour être raccord. La porte d’entrée s’ouvrit et Véronique entra, la démarche lourde et les yeux ...
    ... humides. Il se leva.
    
    — Une mauvaise nouvelle, Madame ?
    — Non, juste le départ d’un ami.
    
    Elle s’en alla vers la télévision en prenant un mouchoir en papier et tamponna ses yeux. C’était la première fois qu’il la voyait si vulnérable, elle, la femme du monde qui le castrait par son énergie. En quelques instants, elle était devenue « humaine » pour ne pas dire « baisable ». Avec un peu plus de courage, il allait pouvoir se la faire et réaliser le fantasme qu’il faisait en solitaire dans son lit.
    
    — Laisse-moi deux secondes, Quentin ! fit-elle sur un ton autoritaire.
    
    Depuis plusieurs minutes, Quentin bandait et il ne protesta pas pour sortir du salon. Le désir précipitait sa respiration… Devait-il la prendre dans le salon ? La chambre ? Son visage était en feu et il avait besoin de fraîcheur, de passer la tête sous le robinet d’eau froide à défaut de prendre une douche glacée. Il monta à l’étage avec l’énergie d’un Touareg assoiffé. Il poussa la porte et la fraîcheur de la pièce d’eau calma à peine ses ardeurs. Il ouvrit le robinet d’eau et accueillit la source fraîche entre ses deux mains avant de la projeter précautionneusement sur son visage. Une fois, deux fois, trois fois, il resta ainsi penché sur la vasque pour éteindre la folie qui embrasait son esprit. Il se redressa, prit un torchon à portée de main et s’essuya le visage.
    
    Quand il ouvrit les yeux, son regard s’immobilisa sur deux larges bonnets qui constituaient l’un des soutiens-gorges de Véronique. Il séchait ...
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