1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (4)


    Datte: 15/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Elle a dormi dans sa chambre, nue, à même le matelas et attachée. Je savais que si je ne l’avais pas fait, elle serait venue me réveiller, et me connaissant, j’aurai craqué.
    
    Je me lève et vais rejoindre Mélissa. Elle dort sur son côté droit. Ses mamelles s’affaissent sur l’alaise de coton. Ses jambes sont remontées en chien de fusil. Ses bras lui servent de coussins. À remédier la nuit prochaine. Je lui enlève la laisse de cuir et la laisse se réveiller tranquillement.
    
    J’ouvre ma grande porte-fenêtre. Je respire l’odeur de la garrigue à pleins poumons. Ca me fait un bien fou. Je retourne dans la cuisine et prépare le café. J’entends le bruit de la douche, je souris. Rapidement je dresse la table de la terrasse. Elle est là, au milieu du salon, en position. Je m’approche d’elle et caresse ses énormes mamelles. Elle sourit.
    
    — Tu es propre de partout.
    
    — Oui, Monsieur Jean.
    
    Je contrôle la présence de son plug et lui tapote ses deux grosses fesses.
    
    — Aller, à table.
    
    Je la suis tout en reluquant son cul. Il me paraît encore plus énorme qu’hier. Piou. On boit notre café et on discute de la journée. Mon téléphone sonne.
    
    — Monsieur Jean ? Bonjour, c’est Géraldine...
    
    — Bonjour.
    
    — Je vais quitter à 9 h 00, je serais chez vous aux alentours de 9 h 30. Cela vous convient ?
    
    — Oui, très bien. On t’attend...
    
    — A tout’...
    
    Je m’adresse à Mélissa
    
    — Il va falloir t’installer et te préparer.
    
    — J’ai peur. Je n’ai jamais fait ça avec une fille.
    
    — Même ...
    ... pas embrassé.
    
    — À part hier. Non.
    
    — Bien. Débarrasse et quand tu auras fini, rejoins-moi dans la pièce du fond.
    
    Je me lève et ma queue commence à prendre du volume. J’adore la sentir balancer au rythme de mes pas. J’entre donc dans la salle aménagée en une espèce de lupanar. Tout y est. Immense lit avec matelas d’eau, Croix De St André, cheval d’arçons, swing, des chaînes, et ma table gynécologique préférée. Ses étriers sont orientables dans tous les sens, le repose-tête s’incline dans tous les sens et surtout elle s’abaisse jusqu’à 50 centimètres du sol. C’est dans cette position que je la règle, légèrement inclinée. Ma grosse black arrive, je l’installe et l’immobilise à l’aide de sangles. Elle ne pipe mot. Elle attend son sort avec impatience. Ca se voit entre ses cuisses. Elle dégouline. Je lui pose des petits anneaux en caoutchouc sur chaque tétine, ce qui a pour effet de les agrandir, de les rendre plus sensibles.
    
    9 h 30, c’est l’heure ou Géraldine descend de sa voiture. Je ne me suis pas habillé, à quoi ça sert. Elle toque.
    
    — Entre Gégé.
    
    Elle pousse la lourde porte d’entrée. On se découvre. Moi nu, bandant comme un cerf. Elle en microjupe en jean et en tee-shirt minimaliste qui laisse à la vue un joli piercing.
    
    — Quel accueil, me dit-elle en s’avançant et en refermant la porte, si j’avais su j’aurais demandé à mon père de me déposer ici hier soir. Hihihi.
    
    Son rire est des plus enfantins. Elle continue sa progression. Je la stoppe.
    
    — Ce n’est ...
«123»