Restaurant
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
f,
fh,
couple,
caférestau,
pénétratio,
fdanus,
jouet,
tutu,
Masturbation
Auteur: NoirBustier, Source: Revebebe
... toilettes…
… Et m’y précipite vite fait ! Vite, un peu d’eau froide sur le visage ! Je rentre dans une cabine de toilette, je prends du papier et m’essuie : je suis dans un état d’excitation extrême !
Je souffle un bon coup, je prends un air serein puis je regagne ma place.
— On va chercher la suite, ma chérie ?
— On y va !
Le repas se poursuit, les va-et-vient dans la salle, tes caresses, tes mots doux, je n’en peux plus et je suis pressée de rentrer à la maison afin que tu me prennes !
Le temps passe interminablement, malgré le fait que j’apprécie tout ce que je mange. Un beignet aux pommes… de la glace… un thé à la menthe… Enfin, nous partons !
Le retour me paraît très long, j’ai envie de me masturber, là, dans la voiture ; j’ai tellement la chatte en feu ! Tu ouvres la porte, tu me prends dans tes bras, tu m’embrasses tendrement. Je me colle contre toi, je te caresse, je te déshabille à moitié.
— Ouah, c’est de manger chinois qui te met dans un état pareil ? Je t’y emmènerai plus souvent !
Impérativement, je prends ta main : direction notre chambre. Je te pousse sur le lit, je n’arrive plus à me contrôler ! Je t’embrasse, je te mords, je te griffe :
— Prends-moi, baise-moi ! J’ai envie de toi !!!
Tu enlèves mon slip trempé, tes doigts titillent mon clito puis descendent plus bas ; tu essayes d’entrer ...
... un doigt en moi. Je vois ton air surpris quand tu découvres les boules :
— Tu as été au restau comme ça !? Mais tu es une grosse cochonne !!!
Tu tires doucement sur la ficelle que tu réussis à capturer. Tu fais délicatement glisser les boules. Mouillée comme je suis, elles n’ont aucun mal à sortir ! Ta langue lape ma cyprine, tu me lèches, tu me mordilles, tes mains attrapent mes fesses, les pressent ! Tu glisses vers mon anus, soudain, tu relèves la tête :
— Là aussi !? Mais tu es insatiable !!!
— Tu crois ?
— Je vais devoir me méfier : tu deviens de plus en plus dévergondée ! Deux en même temps, tu es une grosse gourmande !
Ton sexe gonflé d’envie entre en moi d’un coup sec !
— Qu’est-ce que tu dis de ça, cochonne, ce n’est pas mieux ainsi ? T’as envie d’être remplie ? Et bien, tiens !!!
— Oui !!!
— Devant, derrière, tu es bien comblée ?
Ton sexe en moi par-devant, le chapelet toujours enfoncé par-derrière, je sens qu’il ne me faudra guère de temps pour que la jouissance arrive ! C’est extra d’être ainsi prise, complètement, totalement ! Ce côté à la fois dévoyé et animal, cette jouissance qui émerge comme une grande vague, comme une digue qui cède, depuis tout ce temps que je me retiens !
Avant de me laisser aller complètement, je songe que ç’aurait été bien que ça se passe sur la table, au restau chinois…