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Une amitié totale (1)
Datte: 27/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: spysinus, Source: Xstory
... c’était goûter à ses seins généreux et blancs. — Pourquoi cette question Lisa ? — Tu as dit qu’elles étaient belles, mais tu n’as joué qu’avec elles tout à l’heure. Tu t’es fait branler par Lilly et tu as fait une sorte de cunnilingus à ma sœur... — Ohhhhhh tu es jalouse !!! Elle me regardait avec un regard triste. Je lui retirai son livre des mains. Elle me fixait toujours. — Bien sûr que tu es belle ! Je m’étais rapproché d’elle, et je me lovai contre elle. Je lui fis un baiser sur la joue. Je lui souris et dans un silence absolu, je lui pris sa main et la posais contre mon sexe qui se tendit. Elle ne la retira pas. C’était la première fois qu’elle touchait le sexe d’un homme, et c’était celui de son plus fidèle ami. Après quelques secondes fébriles, Lisa commença un va-et-vient agréable sur ma bite. — Alors, c’est comment Lise ? — C’est chaud ! Nous rîmes tous les deux. Je grimpais sur son corps et me retrouvais sur elle pendant qu’elle continuait de m’astiquer. Le temps était comme suspendu. Je voyais ses seins libres bouger au rythme de ...
... ses cadences. J’approchais ma tête de son oreille. — Tu es belle. Très belle même Lisa. J’ai envie de te croquer comme un bonbon. Et sur ces mots, je déposais un nouveau baiser au creux de son cou, puis nos regards se fixèrent intensément... De quelques mots sortis du plus profond de son cœur, elle me susurra « vas-y, même pas peur » ! Elle avait lâché ma bite, et mes lèvres trouvèrent ses lèvres pour un baiser. Puis ma bouche descendit sur ses seins que je suçais à leur tour. Ils étaient si bons et si gros... Je les empoignais et malaxais avec mes mains, et je partais à la découverte du reste de son corps. N’y pouvant plus, avant même que je m’y atèle, Lisa retira le dernier rempart de son corps. Elle fit glisser sa culotte. Mon gland dur comme du fer se trouvait contre sa vulve toute mouillée. Nos visages l’un contre l’autre, Lisa me sourit en signe d’accord, et alors j’enfonçai mon pieu dans son corps pour lui faire découvrir la vie, au milieu de nos torrides baisers qui s’entremêlaient dans cet effort charnel. Il ne pouvait pas y avoir plus beau signe d’amitié.