La tentation d'un quadra (4)
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: cirrus95, Source: Xstory
... petite pointe toute rose qui n’attend que le bout de ma langue. L’entrée de son vagin est encore très ouverte et un petit filet de cyprine s’en échappe.
J’avais préparé une grande serviette blanche, il me semble beaucoup plus prudent de l’étaler sur le canapé. Elle en profite pour s’installer plus confortablement, face à la fenêtre, puis, les jambes en compas, elle m’appelle.
— Mange-moi.
Je ne me fais pas prier. Des deux mains, j’écarte les petites lèvres et du bout des doigts, je décalotte son clitoris maintenant livré à ma langue. Je le lape, je le fais rouler sous ma langue, je le pince enfin entre mes lèvres et je le suce, je la tète. Ses gémissements se font plus sonores, plus rapprochés. Changeant un peu de position, mes doigts massent son vagin puis lentement j’y introduis un doigt puis tout de suite deux. J’explore, je cherche les points sensibles. Mes deux doigts écartés comme des ciseaux ouverts, je la fouille. A ce jeu, son vagin s’inonde une nouvelle fois, mes doigts sont poisseux. Je les referme, les replie un peu, je sens la paroi de son vagin sous le pubis, je cherche son point G... ce fameux point G. Je sais bien que ce n’est pas "un point », juste une région plus sensible. Le problème c’est que ce n’est pas toujours facile à trouver et ça change... même chez la même personne. Un vrai mystère !
A l’entendre, j’ai dû le trouver ce fameux point. Je commence alors à la branler, doucement d’abord puis de plus en plus énergiquement jusqu’à en avoir ...
... mal au poignet. Mais ça marche !
Elle ne gémit plus, elle crie de nouveau et de façon continue, elle presse ses seins, pince ses tétons, crie, crie encore et laisse échapper un petit jet qui arrose mon bras et mouille la serviette.
Les bras écartés et la tête sur le dossier du canapé, les yeux clos, elle reprend son souffle. Moi, je la regarde en souriant, heureux de sa jouissance... et impatient de la mienne. Ses cris, son plaisir ont mis mon excitation à son comble. Ma queue est gonflée, rouge presque violacée, les veines saillent et palpitent. Elle est dressée sur mon ventre, grosse, dure comme un petit pieu. Elle me fait presque mal tant elle est tendue. Ensuite
Hélène sort doucement se son orgasme, ouvre les yeux et prend pitié de mon état.
— Pauvre chéri ! Tu n’as encore rien eu. Ta bite est énorme, tu dois avoir les couilles prêtes à éclater !
Et sur ce, elle les soupèse et prend ma queue dans la bouche. D’un seul coup, elle en enfonce au moins les deux tiers puis s’en retire lentement, ses lèvres épousant le bourrelet du gland qui, chez moi, est assez imposant. Sa langue s’enroule autour de lui et en suit les contours, elle insiste sur le frein. Je ne sais pas ce qu’il en est pour les autres mecs, mais chez moi, il est extrêmement sensible, elle sait me faire jouir ainsi du bout de la langue. Là, ce n’est sans doute pas son but, mais elle en profite longuement tout en me jetant de longs regards un peu vicieux. D’une main, elle tient simplement ma queue ...