Ce que le progrès rend possible
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sf,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... se passe sur le lit, je ne peux m’empêcher d’en découvrir l’opulence et la plasticité parfaite.
Sur le lit, les deux femmes sont face à face, les jambes enchevêtrées afin que leur intimité puisse se toucher. Elles se tiennent par la main, et tirant sur les bras se servent de cette tension pour se frotter au mieux. Les bassins ondulent. Nul doute que les chattes font "minette" en faisant connaissance.
Mais à côté aussi cela bouge. La femme s’est déplacée pour pouvoir s’occuper de son amant. En deux temps trois mouvements, polo, pantalon et slip ne sont plus que des dépouilles. La verge est droite. C’est une tige que ma femme – enfin, je veux dire ViolaFleur – connaît bien, une de celles qui l’ont possédée il y a quelques jours. Pour l’instant c’est une autre qui s’en occupe. La femme la caresse, la lèche, tire avec sa langue des chemins du méat aux couilles. Elle regarde son amant, mais aussi plusieurs fois je croise son regard.
Sur le lit, c’est une danse. Maintenant les femmes sont en appui sur leurs bras, courbées, cambrées pour frotter encore plus leur sexe. J’ai même l’impression d’entendre le frottement humide de leurs jus d’excitation. Non : ce bruit humide, c’est celui de ma voisine qui s’est enfournée le mandrin jusqu’à la garde, montant, descendant, suçant, léchant et tirant des filets de cette salive qui clapote dans sa gorge. Alors que je les regarde, l’homme se penche et parle à l’oreille de la femme. Je comprends aussitôt son message lorsque la femme ...
... fait un pas, puis deux de côté, l’amenant en face de moi. Déjà elle cherche ma ceinture.
Non, je vais refuser. Je suis un examinateur, et je ne dois pas interférer. Mais je chasse cette réserve ; après tout, mes cobayes sont sur le lit, et les deux à côté de moi ne comptent pas.
Moi aussi je bande. Qui ne serait pas excité par tout cela ? La femme me caresse. Moi aussi j’ai droit à une magnifique fellation.
Sur le lit, les corps se tétanisent. La jouissance est là. Pourtant, ViolaFleur est parfaitement prévisible, et je ne suis pas étonné que ce premier plaisir ne le lui suffise pas. Elle pousse Rose à s’allonger et s’installe en 69 sur elle.
La gorge m’abandonne. Ma queue est un mât, mais l’homme veut aussi s’occuper de sa partenaire. C’est elle qui prend sa place et lui qui s’agenouille. Il tire la culotte. Voilà, il ne reste plus que la jupe, et il se glisse dessous. Le tissu montre qu’il s’active. C’est encore plus érotique que si je pouvais voir.
Mes femmes se gouinent. Je sais : « mes femmes », ça fait un peu prétentieux et réducteur. Mais d’une certaine façon, ViolaFleur est ma création. Je sens que la femme est revenue me reprendre en bouche. C’est bon, mais sur le lit le spectacle me fascine. Cette bête à deux dos est un enchantement. C’est une vraie bataille où chacune cherche à dominer l’autre. Et puis elles s’immobilisent. La jouissance les a submergées. Elles se séparent, se relèvent, s’embrassent, partageant leurs jus de plaisir et puis regardent ...