Ce que le progrès rend possible
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
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Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... se faire un masque plus que naturel, littéralement comme une seconde peau. Je suis certaine que mon esthéticienne pourrait me faire ce type de masque. Elle a travaillé pour le cinéma. Et avec une perruque, même ma mère ne me reconnaîtrait pas.
En quelques jours, Fleur arrive à me démontrer qu’elle a raison et que l’expérience peut être tentée. J’en parle alors à ma femme.
Je m’attendais à un refus, ou une longue discussion. Mais finalement elle m’a laissé prendre la décision pour nous deux.
— Je me demande si cette idée ne vient pas de toi. Peut-être que tu espères, en ton for intérieur, coucher avec Fleur. C’est évident que l’alcool a révélé sa vraie nature. Après tout, beaucoup de femmes et d’hommes ont des fantasmes inavoués. L’association de l’imprégnation et de l’alcool a dû briser la barrière qui sépare ses fantasmes de "la Fleur" que tu connais.
Je n’ai pas répondu. Bien sûr, mon assistante est une très belle femme ; bien sûr que parfois mes yeux peuvent s’attarder sur sa plastique parfaite que sa blouse cache à peine, mais je suis son patron.
Fleur ne se dévoile pas à ma femme afin de ne pas influencer son subconscient. J’ai expliqué pourquoi à Viola. C’est seulement après l’imprégnation et mes questions qui déclenchent les mêmes réponses qu’elle se montre.
— Vous êtes qui ? demande ViolaFleur découvrant cette inconnue.
— Une amie. Je lui ai demandé de m’assister. Une sorte de témoin.
— Vous vous appelez comment ?
Je n’avais pas du tout pensé à ...
... cela.
— Rose, réponds mon assistante.
— C’est drôle ; moi, c’est Fleur.
La table n’est pas disponible, mais je ne pense pas que cela soit capital. Par contre, celle qu’on nous attribue se trouve non loin de la porte qui donne sur le fameux escalier. Rose (Fleur) et moi examinons discrètement notre ViolaFleur. Cela doit lui faire un drôle d’effet d’entendre ma femme parler avec ce léger accent chantant.
Vient le champagne. Tous mes sens en éveil, je guette un changement chez Rose. Il semble que rien de la perturbe. Par contre, dès la deuxième coupe, ViolaFleur change. Comme l’autre soir elle semble montée sur ressorts. Elle se plaint de la chaleur.
— Professeur, faites-moi danser.
J’ai l’impression de revivre l’autre soirée. ViolaFleur se colle à moi. Je crois qu’elle veut me draguer, mais en réalité si sa bouche est si près de mon oreille, c’est pour me questionner.
— Dites, Professeur, c’est qui pour vous cette Rose ?
— Que voulez-vous dire ?
— Une amie ? Une maîtresse ?
— Une amie, bien sûr. Pourquoi ?
— Ah bon. Parce qu’elle ne cesse de me regarder. J’ai l’impression que je l’intéresse. Moi, je la trouve très belle, sensuelle. Vous croyez que je pourrais…
Je ne sais quoi répondre, si ce n’est que la personnalité de Fleur semble pencher aujourd’hui vers son sexe.
— Je ne peux pas m’engager pour elle. À vous de voir.
Alors que la musique cesse, ViolaFleur semble hésitante. Elle regarde vers la porte qui donne sur l’escalier.
— C’est drôle ; ...