-
Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.
Datte: 14/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Romain69130, Source: Hds
... droits, que les tétons deviennent des pointes. J'ai souvent regardé sur le net ces femmes dont on enserre les seins par des cordes ou liens très étroits au point qu'ils deviennent des obus écarlates et manifestement hypersensibles. Moi, je me limite à les presser entre les mains et en faire pointer un peu plus les tétons déjà bien développés de Marie. Tétons qu'elle se caresse alors de la paume ou tord entre ses doigts. Fixer les bijoux est déjà une caresse. Les voir pendre, suspendus par les tiges de chair est un spectacle fantastique. Mais lorsque ma coquine de femme se balance un peu les pendules improvisées sont des soleils scintillants. — Merci. Dit-elle. Elle ne peut voir dans mon regard qu'une envie folle de faire l'amour. Je l'aide à se déshabiller. Elle me regarde pendant que je fais de même. Je bande déjà. Elle sourit. Je m'allonge sur le canapé. Sa bouche joue avec mon gland. — Viens, viens. J'ai trop envie. Elle monte sur moi, guide ma queue et s'empale dessus. C'est bon. Elle ondule comme toujours. Les yeux fermés, comme dans un rêve. Et si elle pensait…. — Tu l'as chevauché ? Il n'est pas nécessaire de préciser. Elle garde les yeux fermés. Pour rester dans son trip ou peut-être, éviter de croiser mon regard. Pourtant une "oui" à peine plus fort qu'une respiration sort de ses lèvres. — C'était bien ? — Oui. — Tu y penses maintenant. — Oui. D'avant en arrière. De gauche à droite. Sa grotte me masse la bitte. — ...
... Regarde-moi. Elle ouvre les yeux. — Coquine. — Pervers. Qu'il est doux cet échange accompagné de sourires. Elle monte et descend. Les pendentifs brillent. Bien vite ils perdent toute raison et se balancent n'importe comment essayant de suivre la cavalière. Le galop est puissant. Marie est en forme. Elle se baise sur mon pieu avec peut être un autre dans un coin de sa mémoire et qui contribue à son plaisir. En tout cas moi c'est le mien. Pourvu qu'elle ne dise pas non. Pourvu qu'elle reçoive ce Franck avec tous les honneurs alors qu'il aura la lourde responsabilité de satisfaire mon fantasme, mais aussi ,que je devine déjà un peu partagé, par ma femme. La furie l'habite. Sa jouissance la libère. Mon foutre participe. C'est une Marie épuisée, en sueur qui tombe sur moi. Je sens les bijoux qui me blessent, mais je ne bouge pas. Au contraire je l'enveloppe de mes bras. C'est une femme satisfaite que je chéri. Je lui susurre à l'oreille : je t'aime, je t'aime. N'oublie jamais cela. Elle se redresse, me fixe, cherchant la perfidie. Mais non, je suis sincère et sans arrière-pensée. Enfin ! Je crois! Après une longue balade en forêt nous mangeons très léger. Depuis ce matin je n'ai plus abordé le sujet. Vers 21 h, Marie va prendre un bain. Youppie ! Je profite de son moment de détente pour sélectionner ce que je veux qu'elle porte. Lorsqu'elle revient nue, coiffée parfaitement, maquillée elle découvre ce que j'ai préparé sur le lit. — Un porte jarretelle ? En ...