1. sylvie au foyer 2


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Sexe Interracial Mature, Hardcore, Auteur: didou008, Source: xHamster

    ... déclarations pour les assurances » …
    
    « En plus les responsables de tout cela sont en haut et ils refusent de descendre. Et il y en a deux Karama et Cadoré qui sont un peu sonnés, un peu blessés je crois même. »
    
    D'office Momo avait commencé à monter rapidement les marches menant à l'étage. Comme une automate sans même réfléchir, je l'avais suivi. J'avais donc gravi vivement ces marches précédée de Momo et suivie par Youssef et Hicham qui me semblait-il me serraient de plus en plus près… à me frôler… je sentais comme leur souffle sur mes fesses…
    
    Comme ceux qui étaient assis sur les marches d'escaliers ne se poussaient pas il m'avait fallu passer au milieu d'eux en les enjambant presque avec ma jupe courte ,ils avaient bien dû voir mes cuisses !... et peut-être même ma culotte car je dus faire des grands écarts…
    
    En y réfléchissant bien et avec du recul il est évident que jamais je n'aurais dû monter aux étages ainsi toute seule... Mais dans ma tête, dans les circonstances présentes et par ma conscience professionnelle cela m'avait paru normal et sans arrières pensées malsaines...
    
    De plus, je n'étais pas seule puisqu'il y avait Momo le gardien en qui j'avais confiance et aussi Youssef l'homme d'entretien que je connaissais bien aussi...
    
    Il y avait aussi Hicham que je ne connaissais pas mais qui était ami avec les deux autres que je connaissais et qui paraissait sérieux et sympathique... même si son regard profond et scrutateur m’inquiétait un peu car il ...
    ... semblait me déshabiller avec des yeux empreints de lubricité… comme s’il se disait « toi ma belle, je te baiserai à fond un jour et t’aimeras ça ».
    
    Si j'avais été aussi un peu plus perspicace, plus attentive, plus méfiante, et surtout moins préoccupée par vouloir bien faire mon travail, je me serais rendue compte de tous ces regards avides et malsains qui se posaient sur mes jambes, sur mes cuisses, sur mes fesses, sur mes seins, bref sur mon corps en général et cela sans aucune gêne...
    
    Je me serais aussi rendue compte que la situation et l'ambiance du foyer avait changé.
    
    Pas de cris, pas de chahut, pas de bousculades.
    
    Mais au contraire un lourd silence pesant comme celui qui précède un cataclysme...
    
    Et des dizaines d’yeux qui m’observaient vicieusement... comme une proie.
    
    J'aurais dû aussi remarquer qu'après avoir suivi ma progression sur les marches, avec l’ondulation de mes fesses sous ma fine jupe d’été le balancé de ma poitrine bien dégagée par le décolleté plus que généreux
    
    [« attends, si on lui fait sauter ces 3 ou 4 boutons qui restent, elle est à poil la meuf ! on va lui voir son soutif et sa culotte…» devaient se dire Momo, Youssef, et aussi des jeunes blacks qui me suivaient…] ils se levaient tous les uns après les autres et qu'ils m’emboîtaient le pas... et que certains aussi, me suivaient en se massant la queue dans leur futal en lorgnant mes fesses et se léchant les babines comme s’ils allaient à un festin. Mais aussi curieusement que cela puisse ...
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