Première fois sans culotte
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
plage,
noculotte,
pénétratio,
couple,
Auteur: Nanou, Source: Revebebe
... qui ne prend pas trop de temps, vu la simplicité de mes vêtements. Nous quittons notre appartement et nous dirigeons vers notre voiture. Durant tout le trajet, comme tout à l’heure, Bernard profite de la moindre occasion pour toucher mes cuisses, mon ventre et mon intimité. Je lui facilite l’accès en gardant les cuisses écartées. J’aime bien quand mon chéri s’occupe de moi. Dès qu’il a garé la voiture, je sors et prends les fleurs déposées sur le siège arrière. Quand je me redresse je m’aperçois qu’il est déjà derrière moi, la bouteille à la main, le regard sur mes cuisses dévoilées par ma position. Je lui souris et nous prenons le chemin de l’appartement de ma sœur.
Mon beau-frère nous ouvre et nous accompagne jusqu’au salon. Parce qu’il y a un salon dans leur appartement qui est plus grand que le nôtre. C’est certainement dû au fait qu’ils ont deux chambres : une pour eux, une pour les enfants. Donc, qui dit salon, dit fauteuils et canapés, je pense que cela va être drôle, surtout qu’ils semblent profonds et confortables. Fred nous invite à nous asseoir pendant qu’il cherche un vase et va ouvrir la bouteille. Il y a deux fauteuils et un canapé. Je prends place sur le canapé et fait signe à Bernard de s’asseoir sur le fauteuil situé en face. De cette manière, lui seul aura la possibilité de voir mon entrejambe, l’autre fauteuil est à angle droit. Dès que je suis assise, je m’aperçois qu’effectivement le canapé est profond. Ma robe remonte sur mes cuisses et les dévoile ...
... largement. Il va falloir que je fasse attention, au moins pendant que nous prenons l’apéritif, après nous passerons à table. Discrètement, avant que ma sœur, mon beauf ou les enfants arrivent, je dis à Bernard :
— C’est malin, tu as vu dans quelle situation je suis, maintenant.
— Génial, moi j’adore. D’ailleurs je me demande si je ne vais pas changer de fauteuil.
— Ah non ! Fais pas l’andouille !
— Je blague !
Nous nous taisons, car Claudine arrive les mains pleines d’amuse-gueule. Elle aussi a mis une robe et je parierais bien qu’elle non plus n’a pas de soutien-gorge, en bas c’est plus difficile, seul Bernard pourra le dire, car elle s’assied à mes côtés.
— Merci, pour les fleurs. Vous avez trouvé facilement ?
— Oui, pas de problème, ce n’est pas très compliqué ;
— Très bien, on boit l’apéro ?
Fred revient avec les fleurs et nous fait la liste de ses propositions. Nous buvons tranquillement en discutant, les enfants viennent de temps en temps prendre quelques biscuits et boire leurs sodas. Petit à petit, l’alcool m’échauffe un peu les oreilles et j’ai de plus en plus de mal à faire attention à garder les cuisses serrées. Je le constate quand je vois le regard de Bernard se diriger régulièrement sur mes cuisses. Heureusement, ni Claudine, ni Fred, ne sont en face de moi et je pense qu’ils ne peuvent rien voir. Aussi, je m’enhardis et, de temps en temps, j’écarte les jambes légèrement pour aguicher mon mari. Ça lui apprendra à me mettre dans des situations ...