1. Voyage de nuit


    Datte: 13/12/2020, Catégories: ffh, inconnu, train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, occasion, Auteur: Delires-delices, Source: Revebebe

    ... pétillent plus qu’une coupe de champagne, des fesses « à croquer ». Elle est belle, admirablement bien faite mais elle n’en joue absolument pas. Elle jette son sac sur sa couchette qui est au-dessus de celle de ma première voisine et dit :
    
    — Je m’appelle Perrine, je pars en stage à Venise, c’est la première fois que je prends ce train ! C’est mon papa qui m’a fait la surprise de me prendre ce billet et je suis super excitée !
    — Moi c’est Marc, j’ai un rendez-vous business demain midi, c’est aussi la première fois et je dirais que je suis super « énervé » et pas excité sinon vous pourriez mal le prendre !
    
    Elles sourient toutes les deux…
    
    — Moi, c’est Anne-Valérie, je pars dans ma famille et je suis ravie de ne pas être tombée dans une cabine avec un couple qui part en voyage de noces… Ça aurait été énervant !
    — Ou excitant ! répondirent ensemble Perrine et Marc
    — Peut-être… Enfin… sinon… Tout le monde m’appelle Anne-Va.
    
    Il se met à penser que le contraste pourrait être formidable entre cette presque encore gamine qui a l’air de ne pas avoir froid aux yeux et cette bourgeoise qui, selon l’expression consacrée, aurait « bien besoin de se faire casser le cul ! ».
    
    Il lui faut trouver une stratégie pour faire fondre totalement la glace, faire monter dans cette cabine une chaleur enivrante et, qui sait, jouer à des jeux totalement fous…
    
    20 h 55 – Même endroit, le train est parti !
    
    Marc se lance…
    
    — Nous allons passer la nuit ensemble, je vous propose plutôt ...
    ... que d’aller dîner chacun son tour, de prendre une table pour trois. Je vous offre le champagne pour fêter ce voyage !
    — Ok ! dit Perrine, ça marche !
    — Pourquoi pas, mais est-ce bien raisonnable ? demande Anne-Va.
    — Alors on considère que ce n’était pas une invitation mais un ordre ! dit Marc en la fixant droit dans les yeux.
    
    À ce moment-là, en croisant le regard bleu de Marc, Anne-Va sent comme un frisson lui traverser tout le dos. Le ton de Marc et ce regard lui rappellent son fantasme quand elle et son mari font l’amour et qu’elle se met à quatre pattes… Elle finit toujours par imaginer qu’elle est prise brutalement par un mec qui fait d’elle ce qui lui chante et à qui elle ne peut rien refuser. À chaque fois, elle jouit au même moment. Il suffit qu’elle s’imagine la voix de cet homme lui dire :« C’est ça que tu voulais ! dis-le ! T’en crevais d’envie de te faire sauter, de te faire prendre comme une salope ! T’en mourrais de sentir une grosse queue dans ta chatte ! Ça te plait de te faire baiser comme une chienne ? dis-le moi que t’es une salope ! dis-le ! »
    
    Et à chaque fois, elle jouissait mais jamais elle n’avait osé prononcer un seul mot…
    
    Ça lui fait bizarre d’avoir associé les quelques mots de Marc à ce film qu’elle se fait les rares fois où son mari, excité plus qu’à l’habitude, lui fait prendre cette position… Elle est troublée !
    
    Anne-Va ose donc lâcher :
    
    — Si c’est un ordre, alors : Oui Maître, j’accepte.
    
    Puis elle part dans un rire forcé juste ...
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