Une nouvelle vie ?
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
fh,
couple,
complexe,
hotel,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... sillon humide dans son cou, et achevai la caresse humide dans son nombril.
— Oui…
Elle prit mon visage entre ses mains et le remonta jusqu’au sien. Nous nous embrassâmes longuement, passionnément. Mes mains se posèrent sur sa poitrine, ma bouche vint retrouver les mamelons durcis. J’adorais lui lécher les seins. Elle gémit, cria doucement, et lorsque ma main se glissa sur sa culotte, elle ferma les yeux et s’abandonna à moi.
— Ben…
Mais au lieu de mettre ma tête entre ses cuisses, comme j’aimais si souvent le faire, je la pris par le bassin et la retournai sur le ventre. Elle se laissa faire sans un mot, ma langue glissant sur son dos, pour revenir dans son cou, la faisant frissonner. Lentement, je descendis le long de son corps, embrassai le bas de son dos, et fis glisser ma langue sur ses fesses. Elle poussa un long cri vibrant de plaisir, et me supplia de continuer.
— Oui ! Oui ! Oh, c’est bon, oui…
Elle avait des fesses magnifiques. Je les honorai de ma langue, les léchant très longuement. Je savais qu’elle serait trop gênée que j’approfondisse trop ma caresse, je m’en tins donc à ses fesses bombées, si désirables. Je portai mes doigts à ma bouche, les humidifiai et les enfonçai dans son sexe. Elle poussa un cri et se retourna. Nouria ouvrit les cuisses en grand et pressa ma tête entre elles.
— Ben, Ben !
J’enfonçai ma langue dans son sexe, remontai sucer tendrement son clitoris, léchai ses lèvres, pris d’une fièvre érotique incroyable, j’aurais ...
... voulu que ce moment ne s’achève jamais. Je n’en pouvais plus. Je bandais tellement fort que cela me faisait mal, à présent, le besoin impérieux de la pénétrer, de m’enfoncer en elle, au plus profond d’elle, était si fort, si grand que je ne résistai pas une seconde de plus. Je remontai le long de son corps, glissai ma langue dans sa bouche et la pénétrai violemment. Elle cria et noua ses jambes autour de ma taille, m’encourageant à lui faire l’amour.
C’était si bon, elle était si brûlante, si vivante, si amoureuse !
Je craignais de ne pas me contrôler. Contrairement à nos habitudes, j’adoptai un rythme violent, éreintant, mais le désir la submergeait elle aussi et elle me supplia de continuer d’un regard brûlant. Je me soulevai un peu pour ne pas l’écraser, enfouis ma tête dans le creux de son épaule, gémis, murmurai son prénom, encore, et encore.
* * * * *
Amel se tenait près de la voiture de Pigneaux, pensive. Elle regarda l’accueil de l’hôtel sans vraiment le voir. Son esprit était ailleurs. Elle pensait à ce qu’elle venait de vivre…
Des vampires.
Frissonnante, elle écrasa sa cigarette sur le bitume et se regarda dans le rétroviseur de la voiture.
— Merde…
Elle fit quelques pas pour se dégourdir les jambes. Elle avait faim.
Après tout, ils s’étaient suffisamment éloignés, non ? Elle pouvait bien faire un saut au supermarché du coin pour acheter des fringues et de quoi manger. Son portrait ne devait pas être placardé partout.
Elle décida d’y ...