Lourdes et les tapas
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
amour,
Masturbation
portrait,
amiamour,
Auteur: Mickael G., Source: Revebebe
... deux mains sous son ventre et reprit ses caresses en silence.
Fasciné, je restais immobile, regardant ses fesses et ses épaules se soulever doucement, devinant le lent mouvement circulaire de son index sur son petit bouton, imaginant le glissement des autres doigts sur ses replis les plus secrets.
Je vis ses reins se creuser, je la sentis frémir alors que sa respiration s’accélérait.
Puis vinrent les premiers gémissements, accompagnant les secousses d’un corps qui commençait à lui échapper. Elle lutta de longues minutes contre ce plaisir qui tentait de la submerger, repoussant l’instant fatidique où elle devrait lâcher prise, haletant, tendue comme une corde prête à rompre, tremblant sous ce feu qui voulait l’envahir.
Et soudain ce fut l’éruption. Dans un grand cri de plaisir, ses mains se crispèrent alors qu’elle se cambrait, relevant la tête quelques instant avant de la laisser retomber lourdement sur le côté.
C’était fini. Elle resta longuement ainsi, les yeux fermés avant de se retourner et de prendre la main d’Anne-So dans la sienne.
Les deux filles se regardèrent et rirent, l’air plus complice que jamais.
— Tu comptes rester là longtemps ? me lança Anne-So.
— Dépêche-toi, rajouta Elodie. Allez, hop, entre nous deux.
Tout heureux de ce qui semblait s’annoncer, je retirais mon caleçon et sautait dans le lit. C’est Elodie qui dégaina la première :
— Vas-y, à ton tour maintenant.
J’essayais de jouer celui qui n’avait pas compris tout en ...
... sachant très bien que la messe était déjà dite.
— Ne te fais pas plus bête que tu ne l’es, rajouta Anne-So en riant, c’est déjà bien suffisant ! Et puis tu n’as que ce que tu mérites. Ça t’apprendra à traîner quand deux charmantes jeunes femmes t’attendent, non mais des fois !
J’aurais quand même voulu gagner un peu de temps, par principe, histoire de leur montrer que j’avais aussi mon mot à dire mais c’était peine perdue et un regard insistant d’Elodie suffit pour que je rende les armes.
L’affaire ne dura d’ailleurs pas bien longtemps. Leur petit prélude à une main m’avait mis dans un état pas possible et je ne tardai pas à me répandre sans aucune dignité, réussissant à ne pas souiller la couette mais ne pouvant éviter de m’en coller partout.
Dépité, je ne laissai même pas à Anne-So le temps de me dire que c’était dégoûtant ce que je venais de faire et je filai dans la salle de bain soigner ce qui me restait de virilité. Quand je revins, propre comme un sou neuf, Elodie fut toute mimi avec moi et cette nuit-là, pour la première fois, elle s’endormit dans mes bras. En m’assoupissant à mon tour, je pensais que, finalement, si c’était là le prix à payer, j’étais prêt à me tripoter tous les soirs devant elle !
***
Les apparences sont souvent trompeuses et leur monde n’avait rien à voir avec l’image lisse d‘étudiantes un peu fantasques mais sérieuses qu’elles donnaient au labo. En dehors du travail, elles ne pensaient qu’à rire et à faire la fête.
Leur grande ...