Une nounou d'enfer - Histoires de Sexe

Une nounou d'enfer

... je sens ses seins lourds collés contre moi, alors qu'une érection commence à poindre, et qu'elle dépose ses lèvres sur mon cou. Et là je m'abandonne, c'est l'animal qui était en moi qui prends le dessus. Je l'embrasse à pleine bouche et ma main droite passe dans ses cheuveux alors que ma main gauche empoigne ses fesses fermes. Elle semble surprise. putain que c'est bon !!!!

Je remonte sa mini-jupe pour sentir la peau de ses fesses Mon autre main descend le long de son dos. Elle sent bon. un parfum de sexe envahit le lieu. Je n'ai pas assez de 2 mains pour ses seins son cul ses hanches ses cheveux.

Vicky se baisse jusqu'à être au niveau de ma ceinture qu'elle desserre et laisse sortir ma bite qui est en feux. Je ne peux attendre et enfourne direct ma queue au plus profond de sa bouche. Quel bonheur !!! Je regarde sa chevelure blonde s'agiter ma queue je suis au paradis, mais je ne veux pas que ça s'arrête. Je fais se redresser Vicky. Mes mains et mes doigts s'attardent entre jambes 2 doigts dans sa chatte trempée et un ...

... doigt dans le cul.

Je lui demande de se retourner, elle met sa jambe droite sur une chaise. La vue de sa chatte et de son cul ouvert est magnifique. Je la pénètre facilement tellement elle mouille. Mes mains sur ses hanches fermes, je fais des allers-retours qui la font gémir. Sa rondelle toute rasée me tente tellement. Je rentre le majeur. Elle ne désapprouve pas et gémit de plus en plus fort. Je sors mon doigt et attrape fermement ses seins lourds, elle se cambre. Je veux atteindre l'apothéose. Je sors ma bite, me présente sur sa rondelle, appui doucement, cm par cm elle se mords les lèvres. une fois entré complètement, je commence des vas et vients délicieux. les gémissements se font de plus en plus fort. Elle n'est pas loin de l'orgasme et moi non plus. Le rythme s'accélère et dans un dernier coup de rein, je lâche la purée dans un moment d'extase. Nous restons sans bouger quelques instants jusqu'à ce qu'on entende applaudir.

C'était Loïc qui nous regardait du haut des escaliers et qui applaudissait pour le spectacle