Jenny en boîte
Datte: 12/12/2020,
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Oral
69,
préservati,
délire,
Humour
héros,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... la vôtre. Elle s’immobilise et se laisse faire ; encouragée, vous poursuivez de plus belle en refermant vos mains sur sa poitrine arrogante que vous pelotez un court instant. Mais elle se dégage bientôt de votre étreinte et vous repousse assez vivement. Elle darde alors dans les vôtres des yeux venimeux et vous décoche soudain une merveilleuse gifle qui vous fait reculer de deux mètres. Tous les mecs autour éclatent de rire tandis que vous la devinez gueuler quelque chose comme « Dégage, sale gouine ! ». Piteuse, vous baissez les yeux et faites demi-tour, retournant immédiatement vers le bar où vous allez terminer la soirée à deviser noblement avec les piliers de bistrot qui n’en décollent pas. Sandy vous ramasse deux bonnes heures plus tard et vous traîne par les bras jusqu’à sa voiture. C’est votre dernier souvenir de cette soirée naze dans cette boîte pourrie.
Rendez-vous en300.
174 : C’est l’histoire d’une blonde en vacance dans le Limousin. Elle entre dans un magasin de chaussures car elle veut à tout prix s’acheter une paire en crocodile pendant son séjour. Le prix des souliers est si élevé qu’elle essaie de marchander avec le vendeur. Ce dernier étant intransigeant, elle lui dit : « C’est bon, je vais m’en chasser moi-même ! ». Et elle quitte le magasin. À la fin de la journée, le vendeur, en rentrant chez lui, passe devant un marécage et voit la blonde, dans l’eau jusqu’à la taille, armée d’un fusil. Sur le bord du marécage, cinq ou six crocodiles sont morts, ...
... alignés sur la terre ferme. À ce moment, il voit dans l’eau un énorme crocodile de dix ou douze mètres s’approcher de la nana. Bang ! Elle l’abat, le traîne sur la terre ferme, le retourne sur le dos et dit : « Et merde ! Celui-là non plus n’a pas de chaussures ! »
Rendez-vous en1.
175 : Mais vous les emmerdez, ces connards de videurs ! De toutes façons, vous n’avez pas besoin de vous faire prier pour foutre le camp de cette boîte pourrie. Surtout maintenant que vous en sortez avec un superbe garçon comme Marcello. Vous l’embrassez une fois encore en arrivant sur le parking. Bon, c’est vrai qu’il est un peu moins superbe, là, ils l’ont plutôt bien amoché. « Je suis heureuse de ce que tu as fait pour moi… » lui murmurez-vous. « Moi aussi… » vous répond-il. « Et heureusement que tu es intervenue… » ajoute-t-il en comptant les bosses sur son visage. « Je vais te soigner… » lui dites-vous, tendrement. Vous marchez un peu sur le parking, main dans la main. Vous attendez qu’il vous conduise à sa voiture, mais il ne semble pas particulièrement pressé ; vous vous arrêtez de temps en temps pour vous embrasser, ou regarder les étoiles, vos têtes l’une contre l’autre.
Rendez-vous en183.
176 : Mais cette pouffiasse éclate soudain de rire et se remet à danser en vous repoussant avec dédain. Comment ose-t-elle ! Vous lui mettez immédiatement un grand coup de latte dans la gueule, suivi d’un puissant coup de pied dans le bide, et, lorsqu’elle est pliée en deux, vous l’étalez par ...