Mon ascension sexuelle (3) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (3)

Cela faisait maintenant trois semaines que j’étais sans nouvelles de Valérie. J’avais pourtant mon portable toujours près de moi, et je le regardais souvent pour vérifier que je n’avais pas manqué son appel. Attendant son coup de fil, je continuais ma vie tranquille, entre les cours, les soirées, les potes, etc. Il s’avérait que même après avoir été dépucelé, je ne parvenais toujours pas à séduire une femme de mon âge. Alors comment pourrais-je imaginer séduire Julia, la fille dont je suis amoureux depuis quatre ans maintenant ? J’avais beau ne plus être puceau, ma vie n’en était pas pour autant différente. Cela me désolait presque.

Je commençais à désespérer lorsque j’ai entendu mon portable sonner. Grande joie, c’était Valérie qui me recontactait. J’ai alors décroché sans perdre un instant.

— Salut, toi. Comment vas-tu ? me dit-elle pour entamer la conversation.

— Très bien et toi ? dis-je, content d’entendre sa voix. Il n’y a pas un seul jour où je ne pense pas à toi.

— Oh, ce que t’es mignon. Dis-moi, tu es libre samedi soir ?

— Bien sûr, depuis l’autre fois, je fais en sorte de garder mes soirs de libre jusqu’au dernier moment.

— Bien. Je vais t’envoyer une adresse par SMS. Sois-y alors pour samedi à 20h.

— Pas de souci, compte sur moi.

— Parfait, ne sois pas en retard.

— D’accord, ça marche. À sam...

J’ai à peine eu le temps de la saluer, qu’elle avait déjà raccroché. J’attendais donc samedi en comptant les jours.

Le fameux jour ...

... arrivé, je me suis rendu au rendez-vous de Valérie. 20h, j’arrivais devant le lieu en question et comme l’avait indiqué mon GPS de téléphone, il s’agissait d’un Sex Shop que je n’avais jamais vu auparavant. J’hésitais à entrer, l’espace d’un instant, mais après ces dernières semaines, il était hors de question que je fasse marche arrière. J’entrais donc dans ce lieu dédié au sexe et j’ai vu tout ce qui pouvait y avoir dans ce genre d’endroit. C’était comme être virtualisé dans un site porno, à mes yeux. Je me suis rendu à la caisse où un homme m’a accueillie. Pascal, il s’appelait. Il m’a dit que plusieurs femmes m’attendaient à l’étage. Lorsque je m’apprêtais à monter la première marche, il m’a dit, sans se retourner, de façon amusante :

— Éclate-toi bien, l’ami.

Ce genre de réplique ne pouvait présager que de bonnes choses. J’arrivais à l’étage et je me suis dirigé vers une pièce sombre. Une fois à l’intérieur, une voix m’a dit :

— N’allume pas la lumière. Il y a un canapé en face de toi. Avance et assieds-toi dessus.

Je m’exécutais alors sans poser de question. Un long silence se faisait ressentir pendant quelques secondes, puis la lumière s’est allumée.

Devant mes yeux se trouvaient trois femmes, toutes dans la quarantaine, habillées en petite tenue. La première se tenait au milieu. Elle était assez grande, environ 1,75 m, elle avait de longs cheveux noirs qui descendaient jusqu’au milieu du dos. Elle avait de grands yeux verts et des cils plutôt volumineux. Ses ...