1. Terma 36 : Ma femme et les ouvriers africains (2) :


    Datte: 11/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... peu. C’est vrai que c’était un homme de la famille mais très âgé et aux traits fatigués et assez souvent malade depuis longtemps. Il devait être au bout du rouleau et sa femme, qui était de loin plus jeune que lui, elle faisait la trentaine, et bien charpentée par devant et par derrière, ne devait pas être souvent satisfaite de ses tentatives sexuelles. Peut-être même que son mari était bloqué et ne bandait plus depuis un certain temps.
    
    L’occasion s’etait offerte à elle, avec ma femme, déjà dévergondée et expérimentée, pour gouter un peu de plaisir sexuel et de jouissances pour sa chatte et sa Terma. Franchement, et comme pour ma femme, je l’approuvais entièrement, et maintenant que je savais, je trouvais qu’elle n’était pas mal du tout corporellement. En y pensant, je revoyais sa silhouette très appréciable et ma bite commençait à s’agiter doucement. Ma foi, si mon zob était capable de bander pour elle, j’essaierais de prendre mon plaisir avec elle en complément du peu que me donnait ma femme.
    
    Donc, dès le lendemain matin, j’ai réussi à l’aborder en lui avouant que je savais ce qu’elles faisaient, elle et ma femme, avec mes deux africains. D’abord effrayée, elle a essayé de s’expliquer mais comme je lui ai avoué que je l’approuvais vu la santé de son mari, elle s’est calmée. J’ai touché d’abord sa poitrine à travers ses vêtements, c’était très lourd et agréablement bandant. Puis je l’ai attirée sur mon ventre et j’ai plaqué mes mains sur son derrière. Ses hanches ...
    ... étaient aussi lourdes et souples et mon zob s’était gonflé contre son ventre. Si ce n’était le danger, je l’aurais détroussée ici et violée sur le champs.
    
    Elle gloussait, preuve qu’elle éprouvait aussi du plaisir. Je comprenais pourquoi elle devait adorer les gros zobs épais, longs et durs des africains. C’était une femme chaude et prête, immédiatement, aux joies des jeux sexuels et son mari, cocu, comme moi, ne pourrait jamais éteindre les feux ardents de sa chatte et de sa Terma.
    
    Nous étions excités à l’extrême, tous les deux. Elle m’a proposé d’aller baiser dans un bâtiment, situé derrière les logements des ouvriers agricoles africains et qui servait d’écurie pour pas mal de bêtes de mon riche cousin, mais j’ai refusé, vu sa proximité du personnel. Alors, on s’est donné rendez vous, à 11h dans mon studio. Je savais que ma femme, même lorsqu’elle baisait le matin avec ses deux amants, après mon départ au travail, ne dépassait jamais 10h pour rejoindre ensuite les femmes domestiques au travail collectif et elle ne revenait qu’à 14h pour une seconde partie de jambes en l’air de l’après-midi jusqu’à 17h.
    
    Je pourrais donc baiser ma parente pendant au moins deux heures, jusqu’à 13h avant que les deux femmes ne reviennent à 14h vers leurs amants.
    
    Pendant toute la matinée, chaque fois que je repensais dans ma tête et dans mes mains à la lourdeur de sa poitrine et de son derrière, je bandais. Et à l’heure dite, elle est venue au studio. Elle était prête à s’offrir, sans ...
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