1. J'ai un travail surprenant


    Datte: 11/12/2020, Catégories: ffh, Oral fgode, fdanus, fsodo, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... François.
    
    Tout naturellement, son cul se place face au pieu et, en appuyant sur ses épaules, je lui fais comprendre de s’empaler dessus. Elle s’exécute et doucement descend, le faisant disparaître dans sa grotte. Nous sommes soudées l’une à l’autre, traversées par un axe commun. Je tends mes mains pour attraper les seins de Céline, je tire sur les tétons et donne des coups de reins, comme un homme le ferait, pour posséder encore plus ma partenaire.
    
    François fait le tour du canapé pour se positionner derrière moi. Arrivé à ce stade, je sais ce qu’il va faire. Je me penche un peu sur sa partenaire. Sa queue est en place. Le gland est à la porte. Il joue à simuler la sodomie en poussant légèrement. Mais il ne va pas plus loin. S’il veut une femme cochonne, salope, prête à provoquer, à demander, proposer les positions les plus « bandantes », il frappe à la bonne porte.
    
    Je tourne la tête. Nos regards se croisent. J’esquisse un sourire. Lui aussi. Sans parler, tout est dit.
    
    — Encule-moi ! Oui, encule-moi. Mets ta queue dans mon cul. Sodomise-moi.
    
    Ces mots sont vulgaires mais nourrissent les fantasmes ! Une poussée, et son gland perce mon anus, dilate le sphincter.
    
    Ahhh ! Cri de plaisir et de douleur mélangés. Il avance lentement, rampant le long de ce bâton rigide déjà en place de l’autre côté de la fine paroi.
    
    Ahhh ! Toujours. Je ne peux pas m’empêcher de crier. Enfin, il y est, à fond, bien au chaud, mais serré, étranglé comme dans la chatte d’une ...
    ... pucelle.
    
    Un instant, personne ne bouge. Moi surtout qui suis pleine. Il se penche sur moi et me chuchote à l’oreille :
    
    — Alors, tu aimes ?
    — Oh oui, c’est bon. Jamais je ne me suis sentie si bien.
    
    Il me redresse pour me laisser plus libre de mes mouvements. Il s’accroche à mes hanches. J’ondule du bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. D’abord de toutes petites amplitudes pour prendre la mesure. Il glisse une main vers mon pubis. Il caresse mon clitoris en même temps qu’il m’encule.
    
    — Oui ! Oui ! Oui ! Je prends mon pied comme jamais.
    
    Céline aussi ponctue chaque nouvelle pénétration de petits cris. J’accélère le rythme, je perds le contrôle. Sa queue sort de mon cul, mais sa main la replace et je m’empale à nouveau dessus. Mon œillet est maintenant ouvert et il s’engouffre facilement. Je suis déchaînée, hystérique. Je parle, gémis, j’insulte Céline :
    
    — Tu aimes que je te baise le cul, ma salope ! Tu voudrais sentir celle de François ? Une vraie bonne queue dans ta chatte et dans ton petit cul de bourgeoise dévergondée !
    — Oh oui ! J’ai envie qu’il me prenne… Je veux être sa salope soumise ! J’aimerais tellement le sentir profond !…
    
    Elle reprend de plus belle en regardant François :
    
    — Baise-moi, prends-moi fort, je t’en supplie !…
    
    Un cri. Strident, fort, comme une délivrance. Je jouis. Ma jouissance coule. Celle de François suit. Je sens le sperme suinter de mon anus. Sa verge ramollie glisse hors du trou. J’en profite pour me retirer du cul de ...