1. Violette : de vierge à salope, mon apprentissage (2)


    Datte: 11/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marla4, Source: Xstory

    Le soir même, je commandais un plug de taille moyenne (je ne savais même pas exactement comment cela se présentait) comme me l’avait ordonné mon maître et professeur particulier. Il était noir et lisse, assez gros mais pas non plus ceux de la catégorie "grande taille".
    
    Je devais avoir l’air un peu différente depuis l’orgasme ravageur de cet après-midi, car au dîner, même ma mère, qui remarque assez peu de choses, me dit que mon nouveau professeur me rendait plus gentille et docile (j’avais failli réagir, elle utilisait exactement le même mot que mon maître, mais dans sa bouche c’était nettement moins excitant).
    
    Il est vrai que j’avais été pendant quelques années assez difficiles comme adolescente, c’était presque ironique que la soumission m’excite autant.
    
    J’allais finalement me coucher, quand j’entendis mon téléphone vibrer. J’avais pourtant dit à mes meilleures amies, à qui je parlais constamment sur plusieurs réseaux sociaux, que j’allais dormir, étrange.
    
    Je vis un numéro inconnu et ces mots "Ouvre le premier tiroir de ta table de nuit."
    
    J’avais presque peur. Qui connaissait ma chambre et avait eu mon numéro ?
    
    J’hésitais, je décidais d’attendre quelques instants quand mon téléphone vibra à nouveau.
    
    "C’est ton maître, n’aie pas peur. J’ai obtenu ton numéro par tes parents, idiote *emoji diable*."
    
    Je respirais un peu mieux mais me demandais qu’avait-il encore inventé pour me soumettre et titiller mes sens, je comprenais également pourquoi tout à ...
    ... l’heure il m’avait laissé quelques minutes (mais encore une fois comment avait-il trouvé ma chambre, que je ne lui avais pas encore montrée avant nos jeux sexuels).
    
    J’ouvrais finalement le fameux tiroir, pour me trouver face à un gode rose et translucide, assez gros mais pas non plus monstrueux, mon maître a dû vouloir me ménager.
    
    Je le pris alors dans ma main, pour évaluer la taille de cette chose ; c’était assez flexible et étrangement doux et lisse.
    
    Nouveau message : "Je veux une photo de ce jouet te caressant le clitoris."
    
    J’enlevais la culotte de coton que j’avais mise pour dormir (je dormais assez peu nue, même si un jour j’espérais le faire avec mes amants), m’asseyais dans mon lit appuyée contre deux coussins relevés. J’écartais mes jambes et pris mon téléphone, activais la caméra frontale et essayais de prendre une image satisfaisante.
    
    C’était vraiment osé pour moi, je n’osais pas encore regarder frontalement mon vagin et là je devais l’envoyer à un presqu’inconnu. Je me rendais compte des limites que j’avais franchies, mais le souvenir de mon orgasme ravageur plus tôt dans la journée fut suffisamment convaincant. J’appuyais le bout du faux gland rose vif sur mon point de plaisir, j’étouffais un gémissement et appuyais sur *photo* et *envoyé*.
    
    En attendant sa réponse, je continuais à caresser l’entrée de mon vagin, faisant surtout quelques allers-retours de bas en haut, me faisant mouiller de plus en plus si j’en croyais le gode luisant de mon ...
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