Soumissions (8) - Histoires de Sexe

Soumissions (8)

... soir !

- Il n’a quand même pas bandé en te matant ?

- Si et il s’en est excusé. Je lui ai dit que je prenais cela pour un compliment. Mais qu’il devra se contenir à la plage quand il rencontrera sa collègue, car elle pourrait mal le prendre !

- Tu me fais passer pour qui auprès de lui ?

- Tu ne comptais quand même pas te le faire maintenant que tu as pris goût aux jeunes avec Guillaume ?

- Non, je respecte mes amies, même si je le trouve mignon. Je pense qu’il plaît à ma fille ! Mais toi Guillaume, tu ne le trouves pas bien monté ?

- Oh là là ! Tu veux m’entraîner sur quel terrain. Tu sais je n’ai jamais trompé mon mari !

- Moi non plus puisqu’il est d’accord et que cela l’excite même !

- Le mien serait plutôt du genre jaloux !

- Il accepte pourtant déjà que des regards étrangers se posent sur toi. Tu sais, c’est le début du processus.

- Tu crois ? Mais moi je n’ai pas du tout d’envie d’aller voir ailleurs !

- Mais hier, cela t’a bien excité de me voir baiser avec Guillaume à tes côtés et même de recevoir nos caresses, non ?

- Oui un peu je l’avoue !

- Beaucoup tu veux dire. Si le téléphone n’avait pas sonné, tu aurais été prête à aller jusqu’où ?

- Je n’en sais rien. J’avoue que j’ai aimé ta langue sur mon sexe. Jamais une femme, ni un autre homme d’ailleurs ne m’avait approché d’aussi près, tu sais ?

- Et toi, tu n’as donc jamais caressé une autre femme, alors ?

- Non évidemment !

- Tu n’as pas envie d’essayer ?

- Tu ...

... sais, ce n’est pas trop le moment-là. Après une matinée particulièrement chargée à régler les problèmes de la boîte, je n’ai pas trop la tête portée sur le sexe !

- Mais tu te détends là. Et de parler sans complexe en étant nue de surcroît te libère, non ?

- Oui et je t’en remercie. Nos pauses quasi quotidiennes me font effectivement un bien fou. Même mon mari s’en est aperçu, me trouvant beaucoup plus disponible le soir !

- Et te baisant donc plus facilement !

- Oui même sur le canapé à notre retour du boulot avant l’arrivée du fils comme à nos débuts de mariage.

- Et s’ils vous surprenaient un jour. Tu réagirais comment ?

- Je crois qu’après t’avoir vue à l’œuvre hier, je continuerai, car je pense que cela contribue à amplifier l’excitation du moment de se savoir épier et même par son propre fils, largement majeur !

- Tu ne veux pas venir t’asseoir sur mes genoux pour continuer la discussion ? Je pourrais te faire ressentir peut-être les mêmes frissons qu’hier ?

- Tu es vraiment impayable. Tu n’arrêtes pas !

Elle se lève et s’avance néanmoins vers sa collègue et s’assoit sur elle. Ma soumise pose immédiatement une main sur le haut de sa cuisse. Elles se regardent en souriant avant que les jambes ne s’écartent pour permettre l’accès plus aisé à son sexe déjà humide. Ma soumise frotte ses seins alors sur le bras de sa collègue comme un appel. Elle y réagit favorablement en se tournant légèrement pour que l’un de ses seins et surtout son téton déjà bien ...